Début de l'histoire: partie 1: rencontre

J'entendais nettement Louis.
Je rappelais mon démon par pensée.
En moins de quelques secondes il revint auprès de moi et son illusion s'évanouit.
Je lui demandais de me téléporter auprès des voyageurs.
Il s'éxécuta.
Il est vrai que j'avais sous-estimé Louis car je ne pensais pas qu'il perçerait l'illusion.
Une fois arrivé derrière les voyageurs je sortis des ombres de la forêt pour me présenter devant eux.
Je donnais aussi un ordre à mon démon qui était censé venir devant moi en cas de bataille.
Cet imbécile pensait que c'était pour m'aider à combattre.
Il se trompait c'était pour voler son énergie en cas de combat acharné.
Car sans le médaillon j'étais devenu parcimonieux avec mon énergie.
Et ce démon en avait une bonne quantité.

Je dis à Louis "Oui je suis prêt à t'écouter. Dis moi ce que tu veux pour que je puisse récupérer mon médaillon."
Je préparais néammoins 3 sorts mentalement.
Dont un instantané sur le bout de mes lèvres.

Nous ne pouvons risquer que ce médaillon reste sur cette terre. Nous mourrons tousun jour et meme si toi seul est capable d'anihiler le pouvoir de ce médaillon tu n'es pas eternel.

Qu'adviendra t il quand tu mourras ?

Ma proposition est donc la suivante ....passe dans l'autre monde avec ce médaillon mais il faut que tu saches que tu ne seras pas en mesure de revenir enutilisant cette porte. Elle ne permet qu'un seul passage.

Cependant tu es un être d'une grande puissance et tu trouveras peut etre un autre moyen de revenir ici. Dans ce cas fais nous le serment de laisser le medaillon d'ou tu viens en lieu sur lors de tes sejours sur notre terre.

Si tu refuses ...nous serons dans l'obligation de passer le medaillon de l'autre coté de la porte sans toi.

Qu'en dis tu ?

Je lui ris au nez.
Puis d'un air sérieux et calme je lui dis "Mon cher Louis, vous avez encore 8 jours de marche avant d'atteindre la porte. Tu dis que je ne serais pas éternel? Tu me sous-estime grandement. Mon batôn est u nvoleur de magie. Grâce à cette magie accumulée je peux me redonner des forces.
Donc combattre l'immortalité chaque jour en tuant des personnes. Mais j'ai aussi d'autres options bien meilleures. Comme transférer mon esprit dans un autre corps plus jeune. Bien entendu je peux faire cela à l'infini sans perdre la moindre de mes connaissance magique. Il existe un 3ème procédé plus complexe et bien plus puissant que les 2 premiers. C'est de me transformer en liche. Ainsi ej deviendrais u nmort-vivant comme toi et je serais éternel. Donc est-ce que cela répond à tes questions sur ma mortalité lui dis-je d'un air amusé".

En tout cas si il me rendait le médaillon, cette fois ils ne pourraient plus me le reprendre aussi facilement que la première fois.
J'avais tiré des leçons de mes erreurs.
Et si je récupérais le médaillon, je comptais bien m'en servir pour accomplir enfin une chose que j'aurais du faire il y a très longtemps.

Cette fois s'en est assez ! Si tu n'es pas capable de sentir le danger qui nous guette tous, tu n'es alors qu'un pauvre fou. Nous t'avons laissé plus d'une chance et tu les as toutes repoussées du creux de la main. Nous étions même prets à t'accorder notre confiance mais tes seuls dieux ne semblant être que ton orgueil et ta folie, je pense qu'il ne te reste plus qu'un seul et dernier échappatoire: te battre contre nous. Enfin, les autres ferons ce qu'il jugerons bon et nécessaire de faire, mais quant à moi je jure que je ne m'éteindrai pas tant que tu ne sera pas retourné à la poussière.

Ainsi, je laissai monter toute ma colère pour accroître ma puissance à son paroxysme, mon aura était maintenant perceptible à mile lieues à la ronde... Mon armure plus brillante que jamais vint protéger mon corps de la bataille qui s'annonçait et mes 12 Atronachs apparurent et bien qu'ils furent chacun invisibles, leur puissance que ma colère ne cessait d'accroitre les rendait perceptible par n'importe quel être ayant une connaissance même médiocre de la magie. L'épée d'une main et mon bouclier de l'autre, je me préparais à attaquer...

J'attendais la réaction des autres sans bouger un cil.
Néammoins je continuais de sourir d'un air amusé et sinistre.
Je voyais les atronachs qui m'encerclaient.
Je les attenadaient avec amusement.
Après tout ce n'était que des golems de glace invisibles en théorie.
Camus était plus dangereux, car il se battait bien avec son épée.
Moi je ne savais pas bien manier mon baton sauf avec un sort d'une durée d'1 min qui prenait presque toute mon énergie.

Autant contre les ombres mes pouvoirs étaient limité , autant les etres de chair et de sang étaient des proies facile.

Immédiatement j'eus recours a la magie du sang , aucun autre etre ne possedait mes connaissances dans cet art.
Je sentais les battements du coeur de Baltor ,j'augmentai sa pression artérielle , ses pulsations s'emballaient.

Pourne pas le tuer instantanément ,j'augmentai la temperature de son hemoglobine . Le sang commencait à couler de son nez.

"Baltor nous sommes en train de te prouver que tu n'es pas immortel...tu pourrais vivre eternellement mais nul n'est à l'abri d'un ennemi plus fort ou superieur en nombre."

J'invoquais des squelettes et des zombies pour immobiliser Baltor. La terre se crevassait pour laisser apparaitre des guerriers revenus à la non-vie, leur épées rouillés et leurs armures dans un état aussi déprolable qu'eux.

Il fallait arrêter cette menace.

C'est là qu'unévènement particulier se produisit. Le ciel gronda et une voix dit "Je le veux ce médaillon et vous allez me le donner de gré ou de force !"

J'étais en très facheuse posture.
Mon sang se retournait contre moi, des squelettes m'immobilisaients les membres et pour combler el tout les atronachs m'entouraient.
Mon seul allié véritable était le démon illusioniste.
J'invoquais mon premeir pouvoir instantané que j'avais longuement préparé.
C'était une déflagration de pure énergie qui tuait tout ce qui était aurour de moi dans un rayon de 10 m.
Ce cercle énergétique me rendait l'énergie des créatures qu'il tuait.
Donc les squelettes volèrent en éclat.
Les atronachs n'étaient pas assez proches sauf 1 qui avait eu l'imbécilité d'avancer en voyant mon sang s'échapper de moi.
Cela eu pour effet de contrer durant un court instant le pouvoir de Louis, car ça avait créé une perturbation dans son lien mental avec moi.Une fois mon cercle terminé je ressentis mon sang être à température normale.
Mais Louis allait sûrement recommencer donc je devais me focaliser en priorité sur lui.

J'invoquais mes 2 derniers sorts que j'avais préparé à cet effet.
Là aussi je les avait tellemetn bie npréparés que je réussi à les combiner en un seul sortilège.
Le premier eu pour effet de lancer une vague de flammes sur les compagnons.
Elle était très large et impossible à évitter presque.
Le 3ème créa une aura d'antimagie autour de moi.
Donc je ne pouvais plus invoquer de sorts, mais je ne pouvais plus en être victime.
Si un des atronach ou même un squelette s'en approchait il mourrait.
Tout ce qui était dans la zone d'antimagie perdait ses pouvoirs.
Mais si je l'avais invoqué c'était aussi pour ne plus subir le don de Louis.
Il ne me restait qu'une chose àfaire m'approcher suffisamment près d'un des vampire et il mourrait à cause de ma zone d'anti magie qui était relié à moi.
Ele avait une portée de 10 m de rayon.
Donc d'un sourire diabolique je m'approcha le plus rapideùment que je pu de Louis.
Si il voulait survivre il allait devoir courir.

Louis ne doit pas mourir. Il en effet l'un de seuls à savoir quoi faire. Baltor était quasi inataquable, même par moi qui, malgré ma puissance et ma force, demeurais un vampire. Mais son cercle ne le protégeait manifestement que de la magie. Je replaçai mon épée sur mon dos, ainsi que mon bouclier. Je pris mon arc et brandis une flêche d'or. la corde de mon arc à flêche était sur le point de céder tellement la force que je déployais était élevée. J'orientai mon tir en direction de Baltor et lachai la flêche qui fusa à une vitesse impressionnante en direction de Baltor.

La flêche arrivée à moins d'un mètre de Baltor, il la repéra d'un air horrifié. il était trop tard pour lui... Au dernier moment, son démon illusioniste s'interposa et la flêche le transperça de part en part et fut malheureusement trop courte que pour atteindre Baltor. Mais, cela dit, sous la puissance du coup, le démon fut projeté en arrière, emportant du coup son maître avec lui. Cela allait nous permettre d'aviser...

Je n'avais pas pensé à ça.
Et pire je ne pouvais aps invoquer de bouclier pour me protéger.
Quand à mon démon il était mort.
En s'approchant dans mon cercle d'anti magie ses protections magiques avaient été annulées et la puissance du coup l'avait tué.
Donc il disparut dans des flammes ardentes.
Je ne pouvais plus rien faire, j'étais une cible idéale pour Camus qui réarmait déjà la 2ème flèche.
Et c'est à ce moment là que je compris que c'était un vampire.
Car un coup d'une telle puissance était bien entendu impossible pour un humain normal.
Dégoûté de ce revers je n'avais plus aucune option pour le moment.
Mais mon aura anti magie m'avait donnée une idée qui pouvait fonctionner.

Donc comme à mon habitude je disparus après avoir annulé mon aura anti-magie.
Ces satanés vampires mourraient tous dans quelques jours.
Quand j'arriva à destination j'étais devant la porte.
J'allais commencer mes préparatifs, mais je sentis une lame sous ma gorge.
En me retournant je ne pu réprimer mon agacement.
Un elfe me fixait sans cilelr et je savais qu'au moindre mouvemetn j'étais mort.
Néammoins je me réjouis en pensant que si moi j'échouais les vampires aussi échoueraient.

"Nous vous avions dit que nous voulions ce médaillon, nous les elfes noirs avons besoin de ce médaillon pour notre dieu du Sang Kharne."

Baltor était sous la contrainte de la flèche de l'arc de l'elfe noir.

"Notre Dieu vous l'a réclamer !! Allez donnez-le nous maintenant."

D'un haussement d'épaule je répondis à l'elfe: "Je n'ai pas le médaillon. Des vampires me l'ont volé".

Avec les elfes il fallait toujours se trouver une utilité pour eux sinon c'était la mort assurée. De tous les peuples c'était les plus diaboliques.
Donc je lui dis: "Je pourrais vous^être utile pour reprendre le médaillon. J'ai déjà combattu les vampires et je connais leur pouvoirs."

Il réfléchit l'air amusé.

Il réfléchissait puis d'un air amusé avec un sourire mesquin, il répondit : "Bien sur, tu pourras nous être utile. Quand tu seras sacrifié pour notre Dieu ! Jetez-moi ce scélérat au cachot ! Je vais de ce pas aller dire bonjour à nos amis suceurs de sang."

Il partit s'enfonçant dans las ténères.

Camus , Konrad et moi nous étions remis en route. Je portais le médaillon.
Avec mes compagnons tout etait plus facile et la traversée de la foret s'est effectuée facilement. Les dangers avait été eliminé en un clin d'oeil.

Les montagnes apparaissaient pour lapremiere foissous noy yeux , bientot nous serions a leurs pieds.

Je voyais que Camus était impatient ..il allait retrouver un peu de fraicheur ce qui l'enchantait meme s'il tentait de le dissimuler.
Konrad et moi nous n'avions pas le meme enthousisame.

Nous avions commencé l'ascension depuis 12 heures et deja nous foulions les premieres neiges.

Cela faisait maintenant quelque temps que je n'avais plus foulé de sol eneigé, j'était donc plus que ravi de pouvoir à nouveau sentir le bruit de la neige sous mes pas. Cette fraicheur et cette neige m'étaient bénéfiques à tous les niveaus, elles permettaient en outre de retrouver des forces et d'affuter mes sens.

Malgré cette joie d'avoir retrouvé mon élément, je ne pouvais m'empêcher de penser au délais toujours plus court pour renvoyer le médaillon dans l'autre monde. Je n'aimais pas être pressé par quoi que ce soit.

Me retournant pour m'adresser à Louis, j'apperçus au loin une sorte de trainée noire qui ne dura que quelques centièmes de seconde sur la neige.

Il semble que nous soyons suivis. Il nous faut rester sur nos garde tout en essayant d'accélérer le pas, quoi que cette chose soit...

Moi j'étais dans une cellule, mon bâton et tous mes objets en main.
Cela m'avais au départ surprit mais les elfes noirs n'étaient pas novices en magie noire.
Ils étaient même trop doués.
Certe, pris individuelement j'avais mes chances, mais avec 3 elfes qui me surveillaient en permanence je ne pouvais rien faire.
Même mon don de télépathie ne fonctionnais pas.
Ces elfes étaient fûtés.
Et à supposer que j'arrive à invoquer une puissance destructrice, je savais que cela se retournerais cotnre moi.
Ma cage était remplie de sorts anti magie et de contresorts qui retournaient à leur propriétaire.
Ils avaient même prit la peine de mettre un guerrier elfe noir dans ma cellule qui devait mettre à tout casser moins d'une seconde pour sortir sa lame et m'égorger.
Mon dernier espoir, ces foutus vampires.

Décidemment ils m'étaient précieux.
Ou sinon ma dernière option était de tuer mon garde, d'activer ma zone anti magie, et bloquer la porte de ma cellule pour que les elfes ne viennent pas me tuer de leurs lames.
Car c'était ça leur problème ils étaietn aussi bon lancerus de sorts que guerriers.
Bref, impossible à faire.
Mais si les vampires me créaient une diversion j'étais prêt à saisir ma chance.

Nous poursuivions notre route, toujours aussi méfiants et attentifs au moindre bruit ou odeur qui pourraient nous indiquer la présence d'ennemis.

Plus nous avancions plus le ciel s'assombrissait car la masse nuageuse était de plus en plus dense. Les nuages semblaient converger en un point au loin.

Après quelques pas, arrivés au sommet du glacier, nous vîmes au loin la porte, porte constituée de flammes. C'était donc la que convergeaient ces nuages...

Nous y sommes, dit Louis, encore une demi journée de marche et nous aurons atteinds cette porte. Redoublez votre vigilence car je perçois quelque chose de terrifiant...

La porte se presentait devant nous ....je n'avais qu'a jeter le medaillon au travers.
Cependant avant que je ne puisse faire un geste la terre se mit a trembler et des fissures apparaissaient sous nos pieds , Camus tentait déja de combler les fissures en creant des plaques de glace ...mais aucune ne tenait car les crevasses s'approfondissaient trop rapidement.

Le terrain etait devenu chaotique et des entrailles de la terre sortait des etres hideux et inquiétants. Des combattants redoutables deambulaient devant nous , des armures noires , d'os recouvraient leur peau sombre parfois hérissé de pointe.De leurs bouches aux dents acérés coulaient un liquide acide qui nous etaient destinés.
derriere ces guerriers se trouvaient des monstres qui semblaient venir tout droit du cerveau fantasmagorique de dément pscychotique.
Des être filiformes et sans visage semblait coordonner cette gigantesque armée et maitrisait l'art de la magie.

La porte n'etait plus a portée , la dalle de granit sur laquelle elle se tenait s'etait affaissée dans une fissure a plus d'une centaine de metre en contrebat.

Il allait falloir vaincre et se debarasser du médaillon ou périr en entrainant avec nous le monde dans le chaos.

Le combat était inégal , il y avait une véritable armée en face de nous et nos 3 silhouettes semblaient ridicule. Nous allions mourrir quelque soit notre puissance.

Ici allait se jouer le sort de notre monde .....


Mais au loin nous vimes que celui-ci n'etait pas pret a se soumettre sans combattre ....par l'est , l'ouest , le nord et le sud
Les elfes sylvains étaient venus nous aider ..les vents leur avaient souffler la situation.
Les elfes noires n'avaient d'autre choix que de combattre a nos cotés et leur instinct de survie les avaient guidé jusqu'à nous.
Paul et mon armée de vampire venait remplir nos rangs accompagnés de milliers d'autres vampires.
les soldats mortels , les magiciens , les nains et même quelques dragons encore vivant serait bientot parmis nous.
D'autres chevaliers de la trempe de Camus venait de s'agenouiller en pretant serment d'obeir à ses ordres pour cette bataille.

La plus grande guerre que notre monde n'a jamais connu allait avoir lieu...
La plus grande guerre que notre monde

Là c'était la chance de ma vie d'acquérir d'immenses pouvoirs.
Les elfes qui voulaient récupérer le médaillon avaient du se rallier à tous les peuples venu affronter le créateur du médaillon qui sortait enfin de sa prison.
Les ombres arrivaient par milliers.
Et à leur tête l'illusioniste qui les avaient créées.
Mes gardes eurent de nouveaux ordres: préparer une retraite au cas où et combattre les ombres pour que le monde ne sombre pas dans le chaos.

En voyant tout cela je fus amusé car si ces imbéciles de vampires ne m'avaient pas retiré mon médaillon rien de tout cela ne serait arrivé.
Même les créatures de l'est étaient venu combattre cette menace.

Tandis que mes gardiens partaient en me laissant seul je pris le temps d'étudier les sorts qui protégeaient la cellule et au bout d'une bonne heure j'avais réussi à les détruire un par un.
Je sortais de ma cellule et je cherchais les vampires du regard.
Finallement au bout de quelques secondes je els vis à la tête d'une immense armée.
En face se trouvait une autre armée tout aussi puissante si ce n'était pire.
Les ombres et leur maître étaient fin prêt à tenir ce portail pour ne pas être vaincu.

Moi je devais choisir mon camp.
Cela ne me pris que quelques secondes car la réponse était trop évidente: le mien.
Avec toute cette mgie présente dans l'air je n'avais qu'à me servir.
Après tout, mon bâton était un voleur de magie.
Donc je lançais un sort très simple qui me permettait d'utiliser l'énergie de n'importe qui pour pouvoir m'en servir comme si c'était la mienne.
Certe je n'en avais pas autant qu'avec le médaillon, mais c'était presque équivalent.
Ce sort c'était la première fois que je l'utilisais car son coût en énergie était trop lourd dans une bataille habituelle.
Alors que là, avec tous les plus grands mages de l'histoire réunit et les ombres, c'était presque trop facile.
Et ils étaient tous tellement nombreux que personne ne s'en aperçevrait.

Une fois mon sort lancé je me mis au travail en préparant une petite armée de golems de feu.
Je mis environ 15 min à tous les invoquer.
Une fois mon travail finit j'eu un large sourrire et je leur donna un seul ordre: récupérer le médaillon et tenter de me ramener Abygaïl vivante si ils le pouvaient.
Car je sentais l'esprit de son ancêtre en elle et ça m'intéressait d'un certain point de vue.
Mes 200 golems de feu se mirent en marche tuant tout ce qui était sur leur passage.

Moi j'étais occupé à me créer de nombreuses protections magiques car j'étais bien réolu à tenir position le temps qu'il faudrait.

Les deux armées entraient en melée dans une nuée de cris, ceux des premières lignes qui s'écroulaient toujours en premier lieu. Je sortis mon arc et commençais à tirer mes flêches à une allure impressionnante. Louis et Konrad étaient au mieux de leur forme et devaient déja en être à leur quinzième victime, facilement.

Après avoir décoché une flêche, je me retournais dans un geste digne des meilleurs contorsionnistes et enfonçais la pointe de ma flêche entre les deux yeux d'un assaillant qui avait essayé de me tuer par derrière. En effectuant ce mouvement, j'apperçu au loin cet infâme Baltor, à la tête d'une grosse centaine de golems.

Un groupe de 3 golems avançait devant leur maître afin de lui éviter d'être touché ou attaqué par un quelconque enemi. Je m'arrêtai dans ma folie meurtrière, fixé sur Baltor et ses golems qui devaient se situer à plus d'un Km. D'un coup de poing sur le sol, je projettai un souffle glacé autour de moins afin de tuer les personnes susceptibles encore de m'empêcher deme débarasser de cet humain.

Je plaçai 3 flêches à la fois sur mon arc et tirai en direction du golem du milieu. Les trois flêches touchèrent le golem avec plus de précision que prévu et lui transpercèrent la tête de part en part, et il s'écroula lourdement sur le sol.

A court de flêche, j'en improvisai en glace et tirai en direction du second golem. La flêche fut inefficace car elle fondit juste avant d'atteindre le golem à cause de la chaleur qu'il dégageait. Je laissai tomber mon arc et envoyai un gigantesque souffle glacé sur le 2 golems qui là ne résistèrent pas et s'effondrèrent.

Baltor était désormais seul capable d'assurer sa défense malgré la centaine de golems qu'il avait invoqué, car ceux-ci éclataient tous leurs adversaires et semblaient ne pas trop se soucier de la sécurité de leur créateur.

J'empoignai mon épée d'une main et mon bouclier de l'autre, puis sprintai en direction de Baltor, plein de rage et avec mes sens de vampire exacerbés au plus haut point...

J'avais certe bien joué en invoquant des élémentaires de feu conte le pouvoir de glace de Camus.
Je le voyais courrir dans ma direction.
Je voyais nettement la rage sur ses traits maintenant démoniaques de vampire.
Camus avait un grand pouvoir c'était perceptible à plusieurs lieues.

Mais ce vampire m'avait sauvé de konrad donc je lui devais une dette d'une certaine façon.
Donc après avoir rapidement réfléchi sur une décision à prendre, je décidais de le laisser passer mes cercles de protection magique qui étaient de nature meurtrière pour certains.
Je ne laissais que les défensifs qui me protégaient personnellement.
Je voulais essayer de le convaincre que je n'étais as un ennemi mais un simple archimage opportuniste qui voulait récupérer ce qui lui apparttenait.
Après tout qu'y avait-il de mal à cela?

Donc quand il fut à 10 pas de moi je remis mes protections.
Et là il fut figé sur place.
Car j'avais conçu un système de protections assez original.
Les cercles extérieurs étaient meurtriers.
Les cercles intermédiaires étaient neutres avec des effets surpenants pour certains.
Bref leur but étaietn de ralentir.
Et les derniers cercles qui m'entouraient étaient à 2 pas de moi et me protégeaient de presque tout.
Mon sort de ralentissement temporel dans laquelle Camus était plongé n'était pas immense.
Ca le ralentirait seulement 1 minute le temps qu'il en sorte.
Mais ça ne lui ralentissait pas le cerveau.
Donc il pouvait comprendre et parler nomalement par télépathie seulement.

J'avais 1 minute pour le convaincre.
Passé ce délai je devrais m'en débarrasser.
Même si il prenait conscience qu'il était ralenti il continuait de courrir au rythme du temps qui lui était imparti pour sorir de cette zone temporelle.

Par pensée je lui dis: "Je ne veux que le médaillon. Je ne te veux pas de mal mage vampire. Si vous me le cédez je ferais renterr les ombres d'où elels viennent et je serais de votre côté. Si tu n'est pas d'accord tu mourras."
Il avait encore 45s avant de m'atteindre, ça me laissait le temps d'échanger quelques paroles avec lui.

Effectivement il disait vrai.
En désactivant mes cercles je n'avais pas pensé à cela.
Je sentis l'épée qui me frôlait le dos.
Une chose était sûre si je m'en sortais je ne me ferais pas avoir deux fois de la même façon.
Je dû réfléchir car je voyais bien que jamais je n'aurais ce fichu médaillon.
Cela faisait trop longtemps que je m'acharnais à le reprendre.
Donc je réfléhi à un moyen de copier son pouvoir sans l'inconvéniet des ombres.
Je n'en voyais aucun, un tel sort n'existerait jamais.
A moins que, là j'eu une idée.
MAis j'avais mis tellement de temps à réfléchir à un moyen de me créer de l'énergie infinie que Camus était sorti de la zone teporelle sans faire de bruit.
il était à 1 pas de moi et son épée toujours dans mon dos.
J'étais à sa merci et je ne savais pas si j'aurais le temps de lui expliquer mon idée.

Cela dépendait de sa colère envers moi.

En fait si j'avais décidé d'abandonenr le médaillon c'était parce que so ncréateur en était sorti, donc le médaillon ne pouvait plus être contrôlé même par moi.
Mais je venais de trouver une idée pour me créer une source d'énergie infinie.
Mieux, mon idée détruirait progressivement le médaillon en même temps.
Le seul inconvénient c'est que Camus était trop proche et je ne savais pas si j'aurais le temps de lui demander de me laisser expliquer mon idée.

J'étais enfin devant lui, je lui pointais ma seconde épée sur la gorge tout en étant vigilant: un mage est toujours capable de surprendre s'il on y prend pas garde.

Sache que je ne ferais pas ça par plaisir mais parce que c'est la seule solution pour que nous puissions nous débarasser de ce foutus médailon... Voici maintenant ton ultime chance: si tu as une quelconque solution, c'est maintenant ou jamais. Saches que tu as beaucoup de chance de m'avoir comme adversaire...si tu était tombé sur un de mes confrères vampire, tu serais déja mort...