Début de l'histoire: partie 1: rencontre

Au moment où le vampire planta ses crocs, il eut une petite surpise inattendu.
Car si il y a une chose qui m'avait permit de vivre longtemps, c'était bien mes sorts et protections magiques très élaborés.
J'avais toujours jalmousemetn gardé mes secrets
Donc quand ses crocs touchèrent ma peau tendre, une sorte de bouclier d'énergie naturelel s'activa pour le faire voler contre le mur.
Si j'avais eu mon médaillon, cela l'aurati facilement anéantit.
Mais sans, cela produisait uniquement une défense en fonction de ma puissance actuelle.
Donc sans le vouloir ce maudit vampire m'avait encore plus affaibli.
J'étais entre l'inconscience et la mort.
Mais j'avasi tout juste encore assez de discernement pour faire un choix.
Laisser mon bouclier naturel et mourir à son prochain assaut avec mes connaissances ou vivre et le laisser me les voler.
Bien entendu dans la seconde hypothèse je mourrais probablement, car pour voler mes secrets il devait boire mon sang et je ne survivrais pas à cela.
Donc quitte à mourir autant que ce soit en emportant mes secrets dans la tombe.

La pièce où Baltor était retenu prisonnier s'emplit soudaineent d'une brume qui réduisait toute visibilité à moins d'1 mètre. Je lançais des pieux glacés aux endroits où Baltor était ligoté afin de le défaire de ses liens. Je lui pris le bras et le sortis du cachot et le lachai à l'orée du bois.

Voila, j'ai respecté ma parole: tu m'as permis de trouver ma plante et je te libère. Mon rôle s'arrête donc là. Tu ferais tout de même bien de faire attention à Konrad qui risque d'arriver d'un moment à l'autre. Peut être que nos routes se recroiseront un jour...

D'un grand saut, je me retrouvai sur le haut d'un grand chêne afin de pouvoir m'orienter. Une fois ma direction trouvée, je partis à une vitesse fulgurante vers la petite maison des paysans...

Camus m'avait sauvé, mais j'étais trop faible pour bouger.
En plus je n'avais pas récupéré ni mon baton ni mon amulette.
La seule chose de positive c'était Konrad qui n'était plus là.
Qu'allais-je faire à moitié mourrant?
Je n'en avais aucune idée.
Déjà il fallait que je me repose, puis que je récupère mes biens.
Une seule personne pouvait me sauver et c'était Abygaïl.
Je priais de toutes mes forces qu'elle me retrouve.

Ne pouvant plus parler, j'opina faiblement de la tête.
Puis, je lui montrait tous les événements dans totue leur intégralité: le vol de Louis, la vengeance de Konrad, le sauvetage de Camus.
Comme elle était proche, cela ne me coûtait pas d'énergie.
J'étais étendu sur le dos, et je sentais plus que je ne voyais Abygaïl du fait de son aura magique.
Il fallait espérer qu'elle possède une potion de soins majeures, et une potion d'énergie majeure elle aussi, sinon je risquais tout simplement de mourir d'ici peu.

Je decidai de rester prudent , j'envoyai l'image d'un petit garcon partir a la rencontre de cette jeune femme.

"Madame s'il vous plait , je suis perdu , pouvez vous me dire comment sortir de cette foret ?"

La jeune femme s'exclama " Quelle belle enfant ! comme tu dois avoir faim ....prends voici des baies rouges que je viens juste de cueillir"
L'enfant sourit , sa main allait atteindre les fruits au moment ou la peau de la jeune fletrit , des pustules naissaient partout sur son corps...
Le si beau visage grimacait , ses dents s'allongeaient et ses griffes etaient de longues lames acérées.

Quand elle voulut eventrer l'enfant celui ci disparut. Les apparences sont trompeuses.

"Comment est ce possible ?" s'ecriait elle "Ma viande , ma viande a disparue !"

Je laissais cette ame nebuleuse dans sa tourmente afin de poursuivre ma route. Aucune n'aide ne pouvait m'etre donné de ce coté la.

Abygaïl avait bien entendu toujours des potions sur elle au cas où.
Moi aussi en temps normal, mais comme j'avais été prisonnier, on me les avait enlevé ainsi que mes quelques fioles de poisons et somifères.
Donc je pris une potion à la ceinture d'Abygaïl qui ne fit rien pour m'arrêter.
Dès l'instant où j'avais finit de la boire, je retrouva la frome, et donc ma puissance magique.
Mais sans le médaillon, je n'étais pas aussi redoutable.
Je me relevais lentement, car je voyais que la vampire avait les yeux fixés sur mes mains et sur ma bouche.
Je lui fis un sourire et je lui dis:"Bon, je sais que je vous ai fait du mal à cause de mes squelettes de flammes, mais c'était une simple diversion pour tenter de détruier Konrad. Si j'avais voulu, j'aurais pu en invoquer uen armée qui à coup sûr vous aurait écrasée. Donc je te demande de me faire confiance, en me rendant mon bâton. Si tu me fais confiance, je vous aiderais à retrouver Louis, et ensuite je partirais loin de tes terres, et plus jamais on n'entendra parler de moi."

En fait, le bâton qu'elle avait cachée je l'avais créé grâce à ma magie au moment où je possédais encore une puissance infinie, c'est à dire avec le médaillon. Ce bâton avait donc d'extraordinaires pouvoirs. Il permettait de briser les sorts les plus redoutables quand on le tenait devant soi.
Il servait également à tuer par simple contact ou grâce à un rayon de mort inépuisable pour qui connaissait le mot de pouvoir adéquat.
Et enfin, ce bâton me servait surtout pour excercer ma télékinésie et mon aura de magie noire (renforce tous mes sorts et aussi ceux de magie noire).
Donc sans lui, je perdais une grande puissance.
Car avec ce simple bâton, on pouvait espérer vaincre casiment n'importe qui.

Donc je devais le récupérer à tout prix.
Mais pour une fois, je décidais d'avouer à Abygaïl les pouvoirs de mon bâton, en espérant qu'elle me ferait confiance.
Car même si j'étais un archimage noir, je n'avais jamais commis de massacre sans qu'on m'y force en me défiant.

J'étais arrivé chez les brâves paysans. Aussitot j'administrai le remède à la femme. Les effets devaient se faire ressentir quasi immédiatement. Elle ouvrit les yeux puis se remit debout. Nous essayâmes de lui parlait mais elle ne répondait pas. Elle faisait une drôle de tête, un visage sans expression. Comme si le corps nous était revenu mais que l'âme était absente... Louis avait peut-être raison, mais je devait en être sûr. Nous la recouchâmes et je partis voir un mage de soin qui pourrait peut-être m'aider.

Il habitait nous loin d elà et je me rendis chez lui immédiatement. Je frappai à la porte et le mage, assez âgé vînt m'ouvrir la porte. Il me fit rentrer et nous nous assayâmes à la table.

Pourquoi viens tu me voir en ces temps de troubles mon ancien élève?

Ces temps de troubles? Q'entendez vous par là?

Je sens le mal se répendre sur ces terres. Il prendra petit à petit possession des êtres faibles en vue de leur arrivée...

Comment? Qui va arriver? Que veulent-ils? Pourquoi sont ils là?

Hélas je n'en sait pas plus que toi là dessus, j'ai juste un très mauvais sentiment sur ce qui se trame. Mais, dis moi quelle est la raison de ta présence ici?

Ah oui, j'allais presque oublier. La femme du paysan qui habite dans les prés là plus loin était malade, j'ai été cherché le remède et lui ai administré, cependant, l'effet devait être immédiat mais on dirait que le corps que nous avons vu s'éveiller n'était pas habité par une âme...

Les yeux du mage s'écarquillèrent et il devint tout pâle.

J'ai bien peur que les choses se déroulent plus vite que je ne l'avais préssenti... Il semble que l'âme de cette pauvre paysanne soit retenue par ces forces du mal...

Mais, que puis-je faire?

Je n'en ai pas la moindre idée, j'ai juste une vision d'un jeune vampire qui se dirige en toute hâte vers l'endroit d'où émanent toutes les forces du mal.

C'est Louis...

Connais tu cet homme? Dans ce cas tu ferais bien de le rejoindre aussitot car j'ai le présentiment qu'il sait quoi faire, et puis l'avenir de ce monde te concerne autant que lui et moi. je serrait bien venu t'aider dans cette quête périlleuse mais je risquerais d'être un boulet: un vieux sage d'un âge fort avancé...

Merci beaucoup pour ces conseils, je pars dès maintenant retrouver ce Louis. A bientot.

Et je partis là où mon intuition me menais, je l'espère en direction de Louis...

Au fur et a mesure que j'avancais , la végétation se faisait plus dense.
La présence que j'avais ressentis , sur les terres d'Abygail me talonnait.

Mon dernier coup de cimeterre me debarrassa des lianes et des branchages qui entravaient ma percée pour m'ouvrir la voie sur une surprenante clairière.

Enfin j'allais pouvoir me deplacer normalement , meme si l'herbe était haute. aucune autre espece de vegetation ne poussait . J'étais comme dans une arène bordé par des arbres.

Soudains les hautes herbes commencaient a bouger à trois endroits. ca venait vers moi.
Puis ils se montrèrent....

3 guerriers noires me faisaient face , leurs armures étaient tachées d'un rouge pourpre. Elles étaient ornés de lambeaux de peaux humaines , de scalps et d'os.

Je ne pouvais distinguer leur visage , seulement deux points rouge dans la penombre de leur heaume.
Les livres d'abygail disaient vrai , je n'avais jamais rencontré de pareil combattants.

Impossible d'utiliser la magie su sang , le controle de leurs esprits étaient vain.
Ici allaient se jouer le sort de ce monde.

Delicatement je m'assurai que le medaillon était bien ancré sur moi.
Nous bondissions tous au même instant . Notre première bataille aérienne était a mon avantage. J'avais touché un des leurs .

Je maitrisais mes cimeterres a la perfection cependant , ils etaient rapide et puissants . Ils se battaient avec des techniques inconnues , operaient des mouvements etranges qui me surprenaient souvent.
Si j'avais été un homme , je serais deja mort étant donné le nombre de fois que ma chair avait été ouverte.

J'utilisai la celerité du vampire pour me deplacer juste devant un de mes agresseurs pour lui planter mes cimeterres dans chacun de ses yeux rouges.
Celui ci fut tué sur le coup.

cette petite victoire me mit en transe , comme un félin j'agrippai un second guerrier noir avec mes griffes pour lui planter mes crocs a travers son heaume afin de transpercer ce qui ressemblaient a des pupilles rouges.

Je voulais tuer le troisième lorsque des chaines noires surgirent afin de me maintenir au sol.
Le guerrier controlait ses chaînes....il s'avancaient pour me porter un coup fatal.

Voyant qu'Abygaïl hésitait un peu trop à mon goût, je lui dis:" Tue moi si tu veux, mais sans moi vous ne retrouverez jamais ce médaillon. Pire, comme je ne le porte pas, je ne peux pas annuler sa magie vampyrique qui absorbe l'énergie de son détenteur ainsi que de l'environnement proche. Et quand une trop grande quantité d'énergie est absorbée, les guerriers des ombres naissent. Pour les contrer, il me faut mon satané bâton, ca je ne maîtrise pas la magie de lumière. Donc fais ce que tu veux, mais moi je vais le reprendre."
Je me mis alors à faire des passes rapides avec mes mains, puis à incanter un sort de convocation d'objet magique.

Allait-elle me laisser achever mon incantation, ou me tuer?
J'espérais de tout coeur qu'elle me ferait confiance, car j'aurais sûrement besoin d'elle pour combattre les ombres. Même si je connaissais ce royaume sombre, je ne désirais pas voir trop de guerrier d'ombres. Car leur but était de reprendre l'amulette, pour invoquer leur maître. Le créateur du médaillon lui même. un puissant illusioniste qui avait créé une autre monde qu'il contrôlait, avec des guerriers puissants. LA seule chose qu'il n'avait pas prévu, c'était que quelqu'un puisse contrôler la puissance vampyrique de son médaillon, pour puiser de l'énergie su son propre monde au lieu d'en puiser sur l'environnement.
Seul l'ancêtre d'Abygaïl et moi avions réussi cet exploi.
Donc j'aurais besoin de cette puissante guerrière pour me défendre contre les attaques des ombres.

On allaient devoir se faire confiance.

Le guerrier était animé par une force de magie nécromancienne, n'ayant pas pu avoir Baltor et ses pouvoirs, j'avais appelé mon fidèle dragon rejoignant la force du médaillon et animé ce squelette dans le but de le vouloir ce médaillon. La force qui animait cet objet me passionnait.

"Donnez le moi ou mourrez !"

C'est là qu'en dessous la terre des bras saisirent Louis et Camus des morts-vivants les avaient aggripés. Ils étaient dans l'impossibilité de faire le moindre mouvement. Je descndais de ma monture, et m'apprétait à me saisir du médaillon.

Cet espèce de traître de Konrad avait manipulé tous les vampires sur ma réputation maléfique.
Même Camus s'était liassé berné.
D'un grondement de rage, je termina mon incantation sans qu'Abygaïl réagisse.
Car je lvenais de lui envoyer mes visions de Louis et Camus qui étaient en grande difficulté face à Konrad.
Ce scélérat de nécromancien vampire.
Dans sa catégorie c'était le meilleur.
moi je l'égalais uniquement grâce au médaillon, mais sans lui, je ne faisais pas le poids en terme de magie nécromantique.
Donc, une fois mon bâton récupéré, et sasn qu'Abygaïl puisse dire le moindre mot, je la téléportais avec moi sur le champ de bataille.
Mais, c'est ce moment là que choisirent les ombres pour débarquer.
Il y avait Louis et Camus retenus par des bras morts-vivants.
Moi et Abygaïl pas loin d'eux.
La première chose que je fis, c'était de mettre mon bâton face à moi pour briser d'éventuels sortilèges.
Konrad était sur un cheval, son armée de mort commençant lentement à se sortir de la terre.
Pire, son dragon mort vivant volait au dessus de lui.
Et surtout, l y avait 5 ombres qui nous encerclaient.
Nul ne pouvait les tuer, à part une arme enchanté pour briser la magie.
Donc à ma connaissance seul moi pouvait détruire les ombres.
Si on voulait dissiper l'armée de Konrad, il fallait tuer Konrad d'abord.
J'hésitais donc sur ce que je devais faire.
Ou alors, j'avais une troisième solution.
Tuer louis, d'un sort mortel, et lui voler le médaillon pour ensuite m'enfuir.
Donc, je choisis de rester, car dans le cas où l'un des trois camp l'emportait, ils s'acharneraient sur moi pour me retrouver.

Donc, je dis à Louis:"Lances moi ce médaillon, vite! Je peux faire retourner les ombres dans leur royaume".
Avec de la chance, Camus avait un sort de magie blanche pour dissiper les ombres lui aussi. Il possédait sûrement des sorts pour combattre Konrad qui affichait un sourire triomphal. la bataille serait épique.

Je crois que vous ne comprenez pas l'enjeu qui est entrain de se jouer sur notre terre.
Ces guerriers des ombres n'étaient que les sousfifres de ceux qui vont venir , certains sont deja la ...je peux les sentir.

Ils voudront recupperer ce medaillon coute que coute et meme des guerriers ou des mages tel que vous ne pourraient rien si vous agissez seul.

Baltor , même si tu pouvais renvoyer ces ombres dans leur macabre monde , un jour tu mourras et ce medaillon representera une nouvelles fois un danger. Tant qu'il n'est pas detruit nous courrons un danger.

Et toi Konrad aussi puissant que tu puisses être , tu n'arreteras pas les ombres. Et même si je me trompais , a quoi te sevirait il de regner sur un monde vide de toute trace de vie.

Aidez moi a emmener ce medaillon par dela les montagnes , il existe un moyen d'enfermer ce médaillon dans un autre monde , un monde ou son pouvoir n'existe plus.

Si les forces les plus puissantes de notre monde ne s'entendent pas , alors les ombres auront gagné .....je suis a votre merci et pourtant si je vous donne ce medaillon alors nous serons à la merci des ombres.

Elles sont déja la ....

A peine avais je terminé ces mots qu'une vingtaines des guerrires noirs au yeux rouges venaient d'apparaitre dans la clairière. Il yavait a leur tête une sorte de mage noir qui tenait au bout de ses chaines 3 féroces bestiaux.
J'etais etendu et je ne pouvais pas bien les distinguer , etaient ils intelligents ? ce qui étaient sur c'etait quel urs dents acérés , et leurs corps athletiques indiquaient clairement qu'ils devaient être redoutables.

Konrad , retire nous ces entraves ....

La seule façon de me défaire de l'emprise des morts vivants était d'empêcher Konrad de les manipuler. En utilisant un souffle glacé assez puissant, je pourrais ralentir l'activité mentale de Konrad, mais au vu de sa puissance, l'énergie qu'il me faudrait déployer serait beaucoup trop importante pour que je puisse être encore apte à me battre. Je me résignais donc à me libérer de son emprise, espérant juste que les paroles de Louis allaient réussir à le faire changer d'avis.

Il faut que j'entame le combat à distance en combinant mes pouvoirs et mes armes. Ce qui risque d'être assez éprouvant...

Konrad, il serait plus sage que tu écoutes Louis...cela nous éviterait de nous affaiblir inutilement au vu du combat qui nous attend.

N'ayant aucune réponse immédiate je me mis au boulot. Aussitôt la température commença à diminuer et des miliers de cristeaux de glace assérés se formèrent et fusèrent en direction de nos mystérieux ennemis. Tous tombèrent mis à part le mage à travers lequel les cristeaux étaient passés sans même le blesser. Quelques secondes après, les guerriers se relevèrent et se remirent en marche vers nous.

Je commandais à distance mes deux épées ainsi que mon nunchaku et tenais à la main mon arc à flèches. Je maintenais la la tempête de neige car elle m'étais bénéfique et ralentissait la progression de nos adversaires.

Dans la tempête, on pouvait voir se dessiner les silhouettes des 12 Atronachs de givre, prêts à se battre...

Je rigolais intérieurement.
Car c'était de leur faute si le médaillon avait libéré sa puissance.
Si ils ne me l'avaient pas enlevé, le pouvoir du médaillon serait resté neutralisé.
En tout cas je leur cria à tous "Jamais je n'abandonnerais mon médaillon! Alors arrêtez de me bercer d'histoires".
Là je choisis un nouveau camp: le mien.
Donc, sans me préoccuepr d'Abygaïl qui était proche j'avançais vers le sorcier des ombres.
Je me mis devant lui et dit:" Tu as pu t'échapper grâce à ses faibles d'esprits. Une erreur qui va se rectifier une fois que tu seras mort".
Il me regarda sans aucune peur. car les ombres c'étati la peur elle même.
Il envoya ses guerriers sur moi et lui même incanta un éclair des ombres.
Avec le médaillon j'étais immunisé contre la magie des ombres, mais sans lui, je devais résister avec mon bâton brise-magie.

Je mis mon bâton devant moi, et l'éclair s'effrita dessus. Puis, j'invoqua un sort qui me rendit momentanément aussi puissant que n'improte quel guerrier. C'était mon sort le plus puissant dasn ce genre, mais il durait 1 min exactement.
En 1 min je détruisis 14 guerriers d'ombres en les toucahnt simplement avec mon bâton qui absorbait leur énergie. Car c'était aussi un bâton voleur de magie, mais j'en utilisait tellement que je n'en avais jamais assez. C'est pour cela que mon médaillon jamais je ne l'abandonnerais.
Puis les ombres restantes disparurent sur ordre de leur maître.
Le sorcier me fixa et dit: "misérable mortel, le créateur te détruira". Puis sur un rire à glacer les sangs il disparut. Je regardasi le ciel.
Il allait faire nuit dans quelques heures.

Je me retourna lentement pour fixer tous mes "compagnons".
Je leur dis: "donnez le moi, ou je devrais vous tuer pour le récupérer".
Malheureusement si ils agissaient en groupe, j'étais mal parti.
Et surtout ce duel m'avait épuisé au plus haut point.
Je faisais semblant d'être en forme, mais encore 1 ou 2 sorts, et je m'écroulais comme une masse pour me reposer de force.

Camus avait rendu mais lien aussi fragile que du cristal ,Je m'etais redressé .

C'etait la confusion général mais je savais que nous avions un ennemi commun.

"Débarrassons nous de ombres et ensuite nous aurons tout le temps detrouver une solution anotre probleme commun"

j'esperais que Konrad dirige ses troupes vers les ombres afin de nous donner l'avantage. Baltor malgre qu'il feignait d'etre en forme ma paraissait faible.
Les guerriers de glace de Camusfaisaient une nouvelles fois des ravages , et que dire de ses coups portés avec autant d'aisance qu'un maitre d'armes dans une cours d'ecole.

Quand a moi je ne cherchaispas a aller au contact des mes adversaires , je me chrageais seulmnt de ceux qui fondaient sur moi dans l'espoir d'economiser mes forces pour la discussion finale qui s'annoncait houleuse.

Il restait encore quelques ombres qui occupaient mes "compagnons".
Moi j'avais arrêté le combat et je les regardais du coin de l'oeil.
Il me fallait de l'énergie, mais comment en trouver telle était la question.
Donc je choisis de fuir du champ de bataille.
Je les regardais tous froidement et j'allais activer un artefact qui me renverrais à 5 km à la ronde.
Une fois reposé je pourrais enfin tenter de les combattre.
Car là je leur avais donné leur chance et ils ne m'avaient pas remerciés.
Je le voyais clairement jamais ils ne me feraient confiance.

Louis criait "Konrad dirige tes troupes, vers les ombres bordel !"

J'étais assis contre un arbre épuisé. Louis courut vers moi, et me demanda "Qui commande les troupes ?"

Je répondit "Ce n'est plus moi qui commande les troupes morts-vivantes. Quelqu'un de plus puissant que Baltor et moi ont pris le contrôle. Je ne sais pas qui c'est. Par contre, je sais pas si Baltor l'a remarqué, mes ses ombres commençent à être sous le contrôle de cette créature. Si il se met pas plus en retrait ses ombres vont le tuer..."

Malgré la disparition du sorcier des ombres il restait encore quelques guerriers.
Donc je fuis car épuisé et aucun de mes "compagnosn" n'avait voulu me rendre mon médaillon.
Je me retrouva à 5 km au sud de la bataille.
Je devais me reposer et les prendre par surprise pour voler le médaillon.
Donc je m'endormis dans un cercle de protection impassable n apr les pouvoirs ni par les dons.
Et le cercle me réveillais au premier impact contre lui.

Baltor venait de disparaitre de toute evidence il n'etait pas d'accord pour que nous trouvions un point d'arrangement.

Cependant son attitued venait de le sauver , ls ombres devenaient incontrolable , seul les guieriers de Camus etaient a nos cotés.

Que je le veuille ou non mainteant il n'etait plus question que j'economise mes forces.
Celui qui menait la danse était se mage noir venu d'outre tombe.
Il fallait le faire tomber lui.

Il lacha ses trois creatures sur nous. je me concentrai pour generer une illusion parfaite , j'augmentai le nombre des guerriers de camus , je les multiplié par 5.

sur le champ de bataille au debut ses guerriers n'etaient toujours qu'illusion jusqu'au moment ou je vis une des betes broyés par le poing d'un de mes Atroniak (je sais plus si c'est comme ca).

mes illusions deviennent reelles lorsque mes ennemis pensent qu'elles le sont.
Mes forces avaient considerablement diminués mais ce soutient allait faire la difference.
Les ombres etaient submergé et bientot le mage noir était encerclé.
celui ci disparut avec un rire psychedelique.

Je m'ecroulai dans la clairiere , j'avaisles bras en croix mes yeux toujours ouvert je dit a haute voix.

Alors ? Qu fait on de se foutut médaillon ?

Exténué par ce combat, je m'écroulai à mon tour dans la clairière tachée du sang (si du moins nous pouvons l'appeler comme cela) que les ombres laissaient échapper lorsqu'elles mourraient. La situation était vraiment complexe, nous ne savions rien de nos agresseurs.

Répondant à Louis:

Je pense qu'il faille se débarasser au plus vite de ce médaillon sans quoi nous risquerions de devoir affronter à nouveau des troupes toujours plus grandes d'ombres... Il ne faut, en outre, ne pas le céder à Baltor: bien que je ne soit pas persuadé qu'il soit foncièrement mauvais, le doute qu'il sème en nous est une raison suffisante pour l'empêcher d'acquérir ce médaillon. Connais-tu seulement un moyen pour ce débarasser de cette abominbation?

Dans la bibliothéque d'Abygail , nous avons trouvé un livre ecrit par u des membres de sa famille.

Ily etait ecrit que nul nepouvait detruire le médaillon et que le seul moyen de s'en debarasser c'est de l'expedier dans une autre dimension.


Manifestement l'auteur de se livre y avait déja reflechit , il y mentionnait un endroit par dela les montagnes et les forets ou une porte versun autre temps s'ouvrait.

Elle ne s'ouvre qu'une fois tous les 100 ans , nous avons encore 10 jours pour l'atteindre et y faire traverser le medaillon.

1 jour après m'être reposé, je foullais mon ma bourse magique qui était infinie.
J'en sortais quelques potions déjà préparées.
Je les bu toutes et je me sentis tout d'un coup revigoré et en pleine forme.
J'avais perdu 1 jour donc il en restait 9 avant que mon cher médaillon ne disparaisse.
Je lançais un sort de vision.
Et je les vu tous en direction de cette porte.
Intérieurement j'étais furieux.
Je pouvais toujours me téléporter mais à une telle distance sans mon médaillon, cela m'épuiserait trop.
Donc il me fallait invoquer des créatures à distance pour récupérer ce satané médaillon.
Là j'eu une idée géniale.
J'invoqua un démon illusioniste particulièrement puissant.
Après lui avoir expliqué ce que j'atetndais de lui il fit un hochement de tête et disparut.

Il réapparut à quelques heures de marche devant l'équipe qui voulait détruire le médailon.
Le démon créa une illusion qui ressemblait à la porte et se cacha.
Le but était que mes anciens compagnons croient que cela était la véritable porte et qu'ils jetettn stupidemetn le médaillon dedans.
Mais ce qui faisait la beauté de l'illusion c'est que le démon avait créé un sort d'une zone d 1km qui modifierait les pensées des compagnons.
Ainsi ils auraietn l'impressio nd'avoir marché 10 jours.

Je rigolais devant l'oeuvre du démon ce n'était plus qu'une question d'heures.

Nous marchions depuis 10 jours du moins c'est ce que nous pensions.

La plaine se presentait devant nous comme celle qui était representé dans le livre d'Abygail.

nous n'avions rencontré aucune ombre ....

Nous etions devant la porte ....je souris. Baltor avait du oublier que j'etais un maitre de l'illusionisme et je pouvais les sentir lorsqu'elle se presentait devant moi.

Je m'ecriai " BALTOR il existe peut etre une seule condition dans laquelle nous pourrions te rendre le médaillon. Es tu pret a m'ecouter? !"