Début de l'histoire: partie 1: rencontre

Là je fus stupéfait par sa phrase.
Car moi qui avait cherché la paix en l'ayant rpesque trouvé, j'avais encore tout gâché avec mon côté opportuniste.
D'un autre côté, sans cette qualité, je ne serais jamais devenu archimage sans cette volonté de toujours devenir plus puissant.
Donc,avant que l'idée ne me vienne de détruire ce vampier qui s'était joué de moi, j'entendis des pas courir alentour, ainsi que des chevaux.
Donc, n'ayant plus le temps de le détruire, je fila d'un simple sort de téléportation d'urgence.
Tout ça pour me retrouver à quelques kilomètres loin de là.
Décidant que le monde des mortels et des guerres ne pouvait me satisfaire, je décidais de partir de cette réalité pour m'exiler jusqu'à la fin de mes jours dans une tour que j'avais créée.
C'était une tour magique qui apparaissait par simple volonté.
Nul ne pouvait la détruire à part le lanceur de sort qui en était à l'origine.
Et pour y rentrer il fallait tout simplement passer la porte qui ne s'ouvrait que sur un mot de passe.

Mais avant d'invoquer tout cela, je voulais vaincre cet odieux Konrad qui avait osé me mentir.
J'étais très rancunier.
Donc je ne pouvais laisser passer cela.

Là encore je recréa rapidement un champ de force qui était d'une résistance moyenne. Ensuite, je passa un certain temps à tracer sur le sol un cercle.
Avec ce cercle je voulais invoquer un certain démon. C'était un démon qui se nourrissait de morts vivants uniquement.
Il était unique en son genre.
Pour vaincre les morts vivants, il utilisait une épée qui aspirait leurs forces vitales. Donc si mo démon touchait le vampire avec cetet épée, il canaliserait totue sa puissance.
Avec un sourire démoniaque, je commenca l'incantation.
Une fois le démon invoqué, il lui fallait une armée.
Donc, d'un petit mouvement rapide 10 squelettes apparurent.
Ils étaient assez faibles mais créairaient une petite diversion.
Car j'enchanta rapidement leurs lames qui devinrent des lames de feu.
Avec ils brûleraient les maisons du village d'Abygaïl, et le temps que tous se concentreraietn sur mes squelettes, le démon pourrait vaincre tranquillement Konrad qui était affaibli d'ailleurs.
Tous ces efforts auraietn du me laisser très affaili, voir me tuer.
Mais comùme je en ressentais aucune fatigue grâce à mon médaillon de mana infini, j'étais assez tranquille.

Mes squelettes se mirent en route, avec le démon.

Je vais rester ici et défendre ce village et je pourrai enfin considéré ma dette comme révolue. Allez combattre cette créature de l'enfer.

Abygail et Louis partirent en direction du monstre tandis que j'aidais les habitants à rentrer dans le manoir de leur souveraine au plus vite. Les squelettes arrivaient à grands pas...

MEs squelettes portant des lames de feu, étaient plus fait pour impressioner que pour réellement détruire.
Ils se battaient un peu mieux que de vulgaires squelettes sans cervelles, mais sans être des squelettes d'exception. Car je n'avasi pas voulu créer 10 généraux squelettes surpuissants.
Par contre, mon démon quand à lui, était assez puissant.
Abygaïl et Louis étaient tous deux des vampires, totu comme Konrad.
Donc, ils étaient en grand danger.
mon but n'était pas de les tuer.
Je voulais seulement vaincre Konrad.
De plus, les 2 vampires avaient effectué un mauvais choix tactique.
Camus arait mieux convenu contre le démon, car non mort vivant.

Sinon, mon démon avait une forme vaguement humaine. Il ressemblit à un grand barbare armée de sa lame magique. Il possédait une lourde armure, et avançait lentement.
Par contre son flair était infaillible. Il repérait un mort vivant n'importe où.
Après avoir marché un long moment, il vit Konrad.
Avec un sourire démoniaque il commençait à s'approcher.
Mais les 2 vampires étaietn déjà arrivé.

J'etais au coté d'Abygail et nous faisions face au Démon .

Je ne voyais pas comment nous aurions pu le laisser hors d'état de nuire.
Nous ne faisions qu'esquiver ses coups et ses attaques mentales.

Seul notre rapidité nous était profitable.

Mes cimeterres entamaient sa chair qui se reconstituait instantanément.

Il nous fallait changer de tactique.

Je décidai de tuer le mal par la racine et j'interpellait abygail afin qu'elle me donne la position de Baltor.

J'utilisai mes dons de camouflage afin de pouvoir m'approcher de lui.

Louis, s'approcha furtivement de moi.
Mais malheureusement, pour une fois, je n'avais pas tout prévu.
Je n'avais pas pensé que Louis ou un autre vampire puisse survivre à mon démon.
Donc, d'un magistral coup d'épée sur la tête, Louis m'assoma, et le démon que j'avais conjuré disparu.
Mes dernières phrases avant de sombrer dans l'inconcience furent "quel imbécile".
Louis savait qu'il ne devait pas toucher mon bâton, sinon il risquait d'en mourir.
Mais par chance je m'y étais accroché avant de m'évanouir.
Il fut vite rejoint par Konrad essouflé et Abygaïl qui était assez fatigué elle aussi par ce combat impossible à gagner.
Camus les rejoint quelques minutes après et ils décidèrent de mon sort.
Quelle était la meilleure?
Me tuer?
Me laisser vivre?
M'enfermer avec le risque que j'utilise mes dons?

Quand je me réveillais, je n'avasi plus mon bâton, j'avais été ligoté et bailloné.
Mes mains avaient été serrés très fort.
Mon sang ne circulait presque plus.
Mais le pire, c'est que je me sentais très faible.
Cette sensation m'étais inconnu en tant normal car mon médaillon me donnait une énergie inépuisable que j'avais subtilisé sur un antique seigneur vampire qui avait essayé de me résister au cours de mes voyages.
Donc d'un regard, je vis sans surprise que mon médaillon avait disparu.
Mon bâton avait du être prit avec des gants.
Mais cela ne changeait rien, car seul moi pouvait l'utiliser.
Au mieux ces imbéciles de voleurs avaient un bâton qui tuait quinconque se faisait toucher par lui.

Au bout de quelques minutes, Abygaïl vint avec Louis, Konrad et Camus.
L'interrogatoire allait sûrement commencer. De plus, sans mes mains, je ne pouvais me servir de la télékinésie.
Ils me regardèrent longuement, certains avec dégoût d'autres avec curiosité.
Et là je vis Abygaïl avec mon médaillon.
Je devais le reprendre mais comment.

Baltor était concentré a chercher une solution pour se sortir de ce mauvais pas.
Je commencé doucmeent a lui faire chauffer le sang qui coulait dans ses veines afin qu'il donne son attention a ma personne.

"Abygail a trouvé d'ou venait se Médaillon , il appartenait a un de ses ancetres. Il existe beaucoup d'ecrit sur ce pedentif , il possede un grand pouvoir.

Il va nous falloir le detruire parce qu'il absorbe petit a petit l'energie de ceux qu'ils croisent pour la restituer a son porteur.
Ce medaillon est de plus en plus gourmand et il risque de menacer l'equilibre des chose.

Lorsqu'il aura atteint un pouvoir incomensurable alors il deviendra la porte d'un monde peuplé de creature et de démon d'un ordre inconnu qui pourrait ravager la terre que nous foulons.
Certains des guerriers de cet autre monde ont déja réussit a venir ici , ils ont pour mission de nous arreter et de proteger le medaillon.

Le Mal et le Bien de cette terre doivent se lier pour trouver un moyen de le detruire.

Nous pourrions te tuer Baltor mais toutes les forces de ce monde nous serons precieuses dans le cas d'une guerre contre ceux qui viennent "d'ailleurs".


Veux tu te joindre à nous ? "

Je pris la parole :

"Il vaut mieux pour toi, sinon, je me ferais un malin plaisir de t'exterminer à petit feu, en ayant pris le soin de te couper tes main avant. La chose que je déteste le plus est qu'on tue un de ma race, mais je peux compter ça sur une erreur de "jeunesse"

Je reconnu l'antique pouvoir suprême qu'utilisait Louis sur moi.
C'était un pouvoir peu connu, et très efficace.
C'était la magie du sang.
Après avoir écouté leur discours, je baissais simplement les yeux sur mon baillon.
Certes le médaillon avait une source d'énergie.
Pour ceux qui ne savaient pas l'utiliser, elle provenait de l'environnement proche, et pour ceux qui connaissaient son fonctionnement, il était possible d'utiliser l'énergie de cet autre monde.Seuls 3 personens au monde avaient réussi l'exploi de prendre directement l'énergie de cet autre monde inconnu.
Son créateur, un mystique illusionniste, le parent d'Abygaïl qui était un mage vampire très puissant, et moi.
Mais ça ils ne pouvaient pas le savoir.
C'est pour cela que je ne voulais pas détruire ce précieux médaillon.
Donc une fois que mon baillon me fut oté, je répondis:"Jamais je ne détruirais une telle merveille bande de fous".

Mais je ne leur en expliqua pas les raisons. Car si je leur avouais que j'avais trouvé le moyen d'empêcher le médaillon de prendre de l'énergie à l'environnement proche, ils voudraient me soutirer ce secret par tous les moyens, et si je ne leur disais rien, ils n'auraient même pas la curiosité de chercher ou ne s'en douteraient pas.
Donc c'éait soit trévéler mon secret et perdre ce qui faisait ma puissance, ou mourir en emportatn avec moi ce fabuleux secret. J'avais choisi la deuxième solution, car j'avas une roue de secours assez inattendue qu'ils ne pouvaient pas deviner.

Car en fait, j'avais des sorts si puissants que sans le médaillon, je ne pouvais en lancer que quelques uns avec difficulté. Si je lançais un sort trop puissant je mourrais comme n'importe quel mortel.

Quand tu dis "nous", Louis, ne m'inclue en aucun cas dans ce pronom. Si je suis ici avec vous, ce n'est que par un concours de circonstances.Je vais juste soigner les blessés avec Abygail puis je m'en irai afin de soigner la femme du brave paysan. Mon destin ne sera pas similaire aux vôtres, du moins pour l'instant...

Et je sortis du cachot, sans plus dire un mot, en me dirigeant vers le chateau d'Abygail, où les nombreux blessés attendaient mes soins. Louis avait l'air un peu surpris, mais ainsi vont les choses. je n'avais en effet, pour l'instant, aucune bonne raison qui me força à les accompagner dans cette quête que je considérais comme inutilement périlleuse. Cela dit, il n'était pas impossible que nos routes se recroisent à nouveau...

[HRP]Je m'absante toute la semaine. Je vous "reverrai" (on ne sait en effet que s'écrire) dès mon retour, si du moins mon avion se pose sans encombres: un vendredi 13... ^^[HRP]

Je fus reconnaissant envers Camus intérieurement.
Ca me ferait un ennemi de moins à combattre.
J'en avais tellement que je ne savais plus ou donenr de la tête.
De plus Camus était très puissant.
C'était risqué pour moi de tenter de le combattre éventuellement un jour si je me sortais vivant de ce pas.
Une fois Camus parti les 3 vampires reportèrent leur attention sur moi.
Et là, l'un d'eux parla.

Camus ! Hurlais je .

"Tu ferais mieux de la laisser mourrir dans ce cas. Au moins si elle meurt maintenant , ce sera dignement . Par contre si le médaillon n'est pas détruit alors inévitablement viendront des forces obscures et perverses qui prendront un malin plaisir à torturer l'ame de cette paysanne.

Si tu lui sauves la vie maintenant tu l'envoies à une mort atroce.

Tu as promis à cet homme de sauver la vie de son épouse , alors tiens ta promesse en acceptant de nous aider."



Aby , je vais ralentir la circulation du sang de Baltor de facon à maintenir un degré d'épuisement conséquent. Si malgré tout il tente quoique se soit je n'aurai qu'a boucher ses artères par coagulation.

Aussi si je le laisse seul avec Konrad , son sort risque d'être scéllé avant même que nous ayons decidé de ce qui serait le mieux pour le groupe.
Je t'attendrai ici , fais vite.

Ce satané vampire m'affaiblissais.
Je commençais lentement à mourir, même si je pouvais survivre à ce que me faisait le roi vampire.
Et le plus malheureux, c'est qu'avec mes mains attachés dans le dos je ne pouvais rien faire.
J'avais certes quelques sorts en réserve, mais à quoi bon.
J'étais trop épuisé à cause de Louis et du fait qu'on m'ai enlevé mon médaillon.
Car j'étais passé d'une puissance infinie à une puissance normale.
Cela avait affaibli mon coprs qui s'était habitué à cette puissance.
Donc je n'avais d'autres choix que d'attendre qu'ils me relâchent où me tuent.

Mais je devais tenter le tout pour le tout. Je ne pouvais me laisser mourir sans rien faire.
Donc, je m'addressa faiblement aux deux vampires encore présents:"Si vous m'aidez, je vous promet de ne pas tenter de vous tuer."
Je savais que mes paroles les feraient rire certainement, mais ils n'avaient pas idée de qui j'étais. Car pour obtenir mon baton et mon médaillon, j'avais certes eu recours à la ruse, mais aussi à une grande maîtrise de la magie.
Après avoir parlé je retourna dans mon état misérable de prisonnier.

Pendant que je me dirgigeai vers les blessés avec Abygail qui me suivait de près, les paroles de Louis trotaient dans ma tête. Si Louis dit vrai et que je sauve la paysanne, sont âme sera tourmentée par des forces obscures... mais il me restera alors la possibilité de trouver une solution en ce qui concerne le mystérieux médaillon. Cependant, si Louis se trompe et que je ne sauve pas cette paysanne, elle sera morte de toute façon et je n'aurais pas accomplis ma promesse... Arrivé dans le manoir, ma décision était prise: je sauverai la paysanne quoi qu'il m'en coûte et aviserai ensuite.

Les blessés étaient nombreux et il n'y avait que moi, Abygail et 2 aides soignants. Il me fallut donc plus de temps que prévu pour m'occuper de tous les blessés.

Une fois ma tâche accomplie, je saluai les blessés, les aides soignants et Abygail puis je me remis en route pour la coline voisine du village afin de récolter la plante tant recherchée...

Comme les vampires ne semblaient pas broncher à ma remarque, je tenta une chose.
J'avais lu les pensées de Camus.
Etant alchimiste spécialisé dans l'art des potions empoisonnées, et donc des anti-poisons, je savais où se trouvait toutes lse plantes de chaque région.
La plante que cherchait Camus était unique, et difficile à trouver.
Donc je le contacta avec le peu de forces qu'il me restait.
Les vampires me voyaient en train de me concentrer.
Louis porta la main à ses lames, et Konrad sortit sa baguette.
Ils attendirent puis s'approchèrent lentement.
Je choisis de briser ma communication àa ce moment là pour qu'ils en découvrent pas mes paroles envers Camus.
Puis d'un faible sourire, je me moqua d'eux avec une expression supérieur malgré ma situation.
Louis parut amusé.
Konrad par contre ne le supporta pas, et me gifla.
Je continua quand même à sourire.
Et Louis maîtrisa Konrad en disant:" Arrêtes, il le fait exprès pour nous pousser à la faute".
Konrad me jete un regard assassin et se calma dans son coin tandis que Louis me chuchata mentalement:" Recommences, et je te laisserais le minimum de sang pour vivre".
Au même moment Camus réfléchissait à ce que je lui avais dit.
Malheureusement le temps m'étant imparti, j'avais du être bref.
Je lui avais dis ceci:"C'est Baltor. Je sais où est ta plante. Aides moi à me libérer et à me soigner, et je t'aiderais. Vite, le temps m'est ....".

Il est vrai que je ne savais pas vraiment où chercher sur la colline, qui était soit-dit en passant assez vaste, et que de l'aide me serrait du plus grand secours. Il fallait que je prévienne Baltor que j'acceptais son offre mais comment? Je ne pratique en effet pas la télépathie... Je décidais d'envoyer un souffle glacial en direction de Baltor en espérant qu'il comprenne que j'acceptais. Cependant, il fallait qu'il me dise d'abord où trouver la plante avant que je ne le libère car ça parole n'avait actuellement, de par ses actes passés, aucune valeur. De plus, c'est lui quiest en mauvaise posture, pas moi, ce qui fait qu'il n'est pas vraiment en mesure de m'imposer le contraire...

Je sentis la réponse de Camus à l'aide de son souffle glacial.
Je lui révéla que sa plante poussait près de deux plantes assez communes.
Donc d'une image mentale je lui révéla la position de ses plantes.
Car même si je n'avais jamais visité cette partie du monde, je l'avais déjà observée à l'aide de sorts scrutatoires.
Après cela je replongea dangereusement dans un état de faiblesse.
D'habitude cela ne m'épuisait pas, mais là j'étais trop affaibli.
Mais je pouvais survivre.
En regardant Louis, et surtout Konrad j'eu un léger frisson que je ne pus réprimer.
Camus devait faire vite pour me délivrer, sinon je ne tiendrais pas à ce rythme.
Même si Louis avait casiment cessé mon refroidissement de sang.

Nous attendions toujours Abygail. J'avais le sentiment que quelque chose allait se tramer autour de nous. mon anxiété etait perceptible , je me sentais observer ....

Je n'aimais pas du tout etre la proie de quelque chose. Soudain je pensai au médaillon , il fallait absoluement le cacher , ils etaient sur sa trace j'en étais certains.

Ne pouvant compter sur l'aide de Baltor , Abygail n'etant pas revenu et konrad était encore trop instable , je m'emparai du médaillon.

Je me remémorrai ce que nous avions trouvé dans les livres , la porte des 3 soleils.
Il existe au Sud de ce monde , par dela les forets oubliées et les montagnes céléstes , sur le plateau des ondes , une porte qui donne acces a l'univers des trois soleils.

J'étais decider a m'y rendre afin d'y laisser ce médaillon. cette porte apparait de facon cyclique , tous les 100 ans et ne permet qu'un seul passage ensuite elle se referme.

Je dis à Konrad , fait de lui ce que tu veux. Si le médaillon reste ici encore plus longtemps nous sommes perdus , je m'en vais mettre un terme a tout ca.


A peine avais je finis mes mots que j'avais disparus ...j'etais déja loin , la rapidité de deplacement était elle que les yeux d'humains ne pouvaient m'apercevoir.

Déja au loin se dessinait les premières forêts ....

Louis s'envola avec mon médaillon.
Je me mis à réagir.
Car maintenant que Louis était parti sa magie n'opérait plus.
Konrad hésitait toujours entre me surveiller ou me détruire pour voler mes secrets de magie noire.
Recouvrant quelques forces j'envoya des images de Louis qui prenait le médaillon à Abygaïl et Camus.
Je réussi à les modifier ou plutôt à ne pas tout montrer pour faire croire que c'était un vol.
Ainsi, ils me libèreraient sûrement pour le retrouver.
En tout cas, Louis aurait énormément de mal à se rendre à cet endroit, car la porte était dans le monde de la lumière.
Et Louis étant un vampie, il devrait être véritablement talentueux pour ne pas mourir et survivre.

Ces forets avaient été interdites par les seigneurs environnants , trop d'hommes n'en étaient jamais revenus , les autres avaient perdus la raison.

Leur immensité était telle que je ne pouvais me permettre de les contourner.
Il allait falloir que je les traverse.

Je decidai de me rendre invisible , aucun être ne pouvait me détecter mais je savais que mon aptitude diminuerait avec le temps.
En effet le sang de qualité et le repos était du luxe dont il allait falloir que je me passe.

Je serrais encore une fois le médaillon m'assurant qu'il était toujours à mes cotés.
Au moins les épaisses feuilles me protégeraient de ce soleil , bien que je sois insensible a ses assauts , je ne l'apprecie guère.

Je m'enfoncais depuis plus d'une heure entre les arbres et les racines noueuses qui s'entremelaient sous mes pieds.

Soudain je vis une femme , elle cherchait de la nourriture , curieusement à l'aise au milieu de toute cette hostilité....

Je regardais Baltor faire ses tours. J'étais tiraillé entre Charybde et Scylla. Mes mains se crispaient, je regardais si personne n'était dans les parages. Je m'approcha de ma victime Baltor, je lui découvris son cou. Je voulais ses secrets, j'enfonçais mes crocs aiguisés dans sa chair tendre...