Début de l'histoire: partie 1: rencontre

Cela fait de longues années que j'ai déserté les armées du nord.
Quand j'ai vu la folie des mages noirs et leur chute, j'ai réussi à me cacher dans les terres de l'est, où tous les jours je dois me battre pour survivre.
J'ai entendu parler de rumeurs sur la montée au pouvoir de certains mages du nord.
Un certain Konrad, nécromancien de haut niveau aurait bâti une petite armée qui ne mourrait jamais selon certains dires.
Il y aurait également la venue d'un nouvel héros: Camus le mage de guerre spécialisé dans la magie de la glace et excellent combattant selon les rumeurs.
Mais le plus inquiétant serait Louis le roi vampire. Nul ne connait ses pensées et si il compte ou pas détruire le sud.

Moi Baltor l'antique archimage noir qui a fait trembler le monde lors de la grande guerre et qui me suis fait passer pour mort, je me suis exclu. Mais le temps me dure, et depuis je suis devenu plus fort.
Malheureusement pour moi, je ne peux aller au sud, où on me tuerait de droit vu le mal que j'ai causé. Pour le nord je suis une menace, malgré les nouveaux héros et leurs puissantes armées.
Il ne me reste plus que l'ouest où je devrais être toléré. Donc je fis un long voyage qui dura plusieurs semaines.
Pour finalement arriver dans un petit village nommé Zabraël et qui serait dirigé par une puissante guerrière mystique.
Là mon aventure commenca.

Louis le puissant seigneur vampire se complaisait dans le domaine qu'il s'etait erigé. Au fur et a mesure les années passaient , il avait besoin de nouveaux défis ....

Il errait souvent seul laissant l'intendance du domaine à Paul , un vampire qu'il estimait profondément.

Une nuit il fit la rencontre d'un être surprenant , il avait du mal à percer ses pensées. Louis décida de le suivre. Peu de personnes pouvait offrir une opposition naturelle a son pouvoir.

Il le pista sans bruit jusqu'à un petit village nommé Zabraël.
Au delà de sa rencontre, il avait l'impression que le destin avait pris en main ses volontés et qu'il se trouvait à l'entrée de ce village malgré lui.

Louis avait la réputation de ne pas aimer gouverner.
Ce fougueux roi vampire aimait plutôt courir dans les villages et se mêler aux humains.
Même si ils étaient rares au nord.
Mais comme il était très discret, je ne sentais pas sa présence.
Donc je continuais à marcher paisiblement, tout en étant naturellement sur mes gardes.
De plus, avec ma capuche noire je me dissimulais car on me croyait mort.
Si les gens venaient à découvrir ma présence, je savais que toutes les armées du nord et du sud s'allieraient pour me vaincre.

Zabraël était dirigé par la mystique Abygail.

Konrad était dans son château a essayer ses sorts de magie noire sur les "cobayes". Les voyageurs égarés ou ces aventuriers en mal de sensations fortes tombés dans les griffes de cet être sanguinaire, sans foi ni loi, ne respectant rien ni personne. Sentant une puissance magique trainant dans les alentours, il décida de suivre cette piste qui lui semblait prometteuse...

Camus était sorti de son domaine de glace pour se consacrer pleinement à son entrainement. Il ne pouvait rater la moindre minute pour s'entrainer, toujours poussé par l'obsession d'accroitre sa rapidité. Il connaissait cet endroit comme sa poche. Il s'y était exilé afin de ne pas être dérangé lors de ses entrainements.

Il avait choisi de vivre au nord car cet endroit étant peuplé en majorité de gens et de créatures foncièrement mauvaises, il n'avait pas à tuer d'innocents pour s'entrainer au combat. En effet, il avait peur que ses actes puissent nuire de près ou de loin à des gens de "bon fond".

C'est ainsi que lorsqu'un homme désespéré vint me voir dans l'espoir que je l'aide, je ne pus refuser. Sa femme était gravement malade et ma réputation m'ayant précédée, il était venu chez moi en étant sûr que je pourrais la guérir. Il fut bien attristé lorsque je dus lui répondre que je n'avais aucun don pour soigner les gens.

Cependant, ayant connaissance de ce type de maladie, je savais que le seul moyen d'en guérir était de boire une décoction de Tryteria, une plante très rare que l'on ne trouvait que dans l'Ouest, sur le mont Acrysis, non loin d'un petit village nommé Zabraël.

C'est ainsi que je promis au pauvre homme de revenir très vite avec cette plante et que je me mis en route pour Zabraël...

Tout en marchant, alors que Louis rêvassait, que Konrad me pistait et que Camus cherchait sa plante, sans le faire vouloir nous nous vîmes tous ensemble en entrant dans le village.
Je percuta Louis qui était un peu trop distrait.
Konrad fut interloqué en me reconnaissant, donc Camus qui avait les yeux rivés au sol ne le vit pas et le percuta à son tour.
Tous les quatres nous tombèrent par terre.

On se reconnut mutuellement. Louis et Camus avec leur entraînement de guerriers furent les premiers debout.
Ensuite ce fut à mon tour et à celui de Konrad.
Pour couronner le tout les gardes de la ville alertés par les cris des villageois qui nous avaient tous reconnu vinrent au galop.
Tous nous avions 2 solutions.
S'entretuer, ou attendre de voir la suite.

Pour ma part j'étais plutôt d'avis de ne pas bouger car Louis était trop proche de moi, et les archers étaient déjà paré à tirer.
Donc n'étant pas particulièrement rapide j'étais un peu bloqué de ce côté là.

Sur le coup, je pris peur.
Mais en y réfléchissant bien je perçus de l'amusement de la part d'Abygaïl.
Car Louis, le grand roi vampire qui avait dû attendre des millénaires pour avoir ce titre, Konrad un jeune prodige en matière de nécromancie qui avait affronté tant de puissances occultes, Camus le mage de guerre élémentaire de glace qui avait gagné tant de combats et moi Baltor la puissance que tous craignaient nous étions tous 4 vaincus par de misérables archers.
N'étant pas particulièrement rapide et devant incanter je ne pouvais rien faire tout comme Konrad. Seul Louis et ses dons naturels de vampire pouvait tenter de s'enfuir et encore. Car tous nous ressentions de la puissance chez cette mystique guerrière.
Intérieurement j'enrageais d'être aussi stupide.
Nous étions donc tous à la merçi d'Abygaïl.
De plus si elle m'enlevait mon batôn je ne valais plus rien à part mes dons naturels.

Bien que je me sentais extrêmement stupide, ces archers ne m'effrayaient guère. Je ne souhaitais ni me battre ni perdre un temps précieux en explications diverses.

Je n'avais besoin de bouger qu'un cil pour déclencher une brume glacée, aussi opaque que les parterres de marbres de la demeurre d'Abygail.
Je m'exécutais alors et nous fûmes tous perdus au milieu de cette brume. Quelques flèches d'archers partirent de tous les côtés, des archers poussaient des cris après avoir reçu une flèche d'un de leur compagnons. Il ne me fallut que quelques secondes pour me dégager de là sans que personne ne le sache. Aussi, je ne savais ce qu'il était advenus des 3 autres héros.
Je me dirigeai vers le village en regardant derrière moi, un sourire en coin, le spectacle qui paraissait pathétique. Mais, en me retournant, je tombais nez à nez avec la très célèbre Abygail...

Ce bétail d'humains commençait sérieusement à ma casser les pieds. J'avais qu'une envie, c'était d'enfouir profondément mes doigts dans la poitrine d'un des leurs et de faire ressortir ce liquide exquis pour m'en abreuver. J'avais soif, j'avais faim, je sentais leurs palpitations. Mon instinct de chasseur se réveillait.

Grâce à la brume de Camus, je pu enfin démontrer mes talents.
J'étais prêt à incanter un sort de cercle de flammes démoniaques qui brulerais totu ce qui était autour de moi, quand je réfléchis.
Après tout j'étais venu ici pour être en paix.
Si je commençais à massacrer massivement les villages de l'ouest, alors, je n'aurais nul part où me cacher.
Donc c'est avec mauvaise grâce que je n'incanta pas.
Par conter il fallait que je neutralise Louis et Konrad, car tous deux étaient pour moi un véritable danger.
Pour sentir la présence de Louis, je lançais un sort très simple de détection de la magie.
Je ressntis la puissance de Konrad, de Camus, d'Abygaïl et de Louis aussi.
Donc je me dirigeais vers lui et comme la brume me dissimulait je commençais à incanter mon sort de destruction des morts vivants pour être débarrassé de ce vampire.
Après il fallait espérer que ces instincts de vampire ne l'avertissent pas de ma présence.

Devant de tels propos, Camus savait qu'il ne pouvait qu'accepter. Résister aurait été plus bête qu'autre chose, et il aurait perdu encore plus son temps si précieux.

Il cessa donc cette brume glacée qui s'estompa alors assez rapidement. Il y avait de nombreux blessés, quand aux "autres intrus"...

Louis était rusé et connaissait les mages assez bien.
Sinon il ne serait pas resté roi aussi longtemps.
Donc, il sentit que je lui voulias du mal et d'un magnifique bond en hauteur il évité mon sort qui lui aurait été mortel.
moi même je n'étais pas un novice.
Mais avant que j'eu le temps de réfléchir à un autre moyen de le vaincre facilement, la brume se dissipa.
J'aurais pu la recréer mais à quoi bon, car Camus l'aurait encore uen fois enlevée.
Donc je ne pouvais plus rien faire.
DE plus, louis était proche maintennant ainsi qu'Abygaï qui malheureusement m'avait reconnu. Konrad n'était pas à la noce lui aussi, car il était très surveillé au niveau archers.
Bref, on revenaient au départ.
Sauf que là, maintennat que CAmus était du côté de la guerrièe, c'était perdu pour moi.
Car moi et Konrad avions tous deux une âme maléfique et froide.
Louis étant vampire, son comportement s'excusait du fait qu'il chassait aps pur instinct.
Donc résigné j'attendis mon jugement, prêt à incanter un dernier sort de destruction massive au cas où je devais mourrir.

Je commençais à avoir un sourire narquois comme pour défier les archers. Un vient me dire :

"Enlève-moi ce sourire ! Saloperie !!" Sur ce il me frappa avec sa main qui était dans son gant armurée.

Je le regardais avec mes yeux injectés de sang. "Voilà le vrai visage du vampire !" Je lui réplica "Tu seras mien ce soir..."

sur ce le sol se mit à trembler. "L'erreur des humains, se croire toujours supérieur aux autres."

Dis-je sur un ton ironique mon armée de squelettes arrivaient par centaines. "Je détruierais et réduirait en cendres ce village."

Mon armée commençait déjà leur oeuvre, sur ce les archers éffarés par ce spectacle, ne remarqua pas que je m'étais déjà ecclipsé.

J'etais abassourdis par tant de comportement anormale , tout le monde doutait , les archers n'etaient pas une menace pour moi , une fleche m'aurait fait l'effet d'une piqure d'insecte.
Cependant les hommes qui étaient à mes cotés me voulaient du mal. Je ne parvenais pas a evaluer le danger qu'il representait pour moi.

J'etais venu ici sans but en me laissant guider par mes instincts. Les pensées des archers m'indiquaient qu'ils tenaient leurs ordres d'Abygail , je decidai donc de marcher droit vers elle et qu'importe.

Néanmoins il fallait que je laisse la vie aux soldats parce qu'ils etaient pour moi une legere protection contre les dénommés Konrad et Baltor .
Je fis mes premier pas , l'archer me mis en garde , une fois deux fois et il decocha sa fleche qui me traversa le ventre.
Je continuai de marcher vers lui , il décocha une autre fleche que j'interceptai avec habileté.

ILs étaient stupefait , je tendis la fleche a l'archer qui avait tenté de m'arreter en lui disant de ne pas laisser s'echapper les deux autres en precisant bien qu'eux craignaient leurs fleches. Je les incitai par une manipulation des esprits à se concentrer sur les mages .

Je continuai à l'allure lente de marcher en direction d'Abygail qui était en pleine conversation avec Camus.

HRP (Aby) j'ai édité ton post car mon perso est encore à l'entrée du village avec vous (je t'inviterais dans mon manoir t'inquiètes pas )

Au moment où Konrad invoqua ses squelettes, je fus horrifié par une chose.
Pas par son armée, car moi même je pouvais créer la même.
Mais c'était plutôt le fait qeu malgré que les squelettes ravageaint tout sur leurs passages, les archers ne me quittaient pas des yeux.
Pire, ils se concentraient plus sur mes mouvements que sur les squelettes.
Konrad après une telle incantation devauit être affaibli.
Il avait des limites tout de même.
Moi grâce à mon médaillon, je ne ressentais aucune fatigue à incanter ou invoquer.
Ma seule limite était celle de la magie tout simplement, car invoquer trop de squelettes, comportait un risque.
Le risque d'en perdre le contrôle.
Je découvris égalemetn qu'Abygaïl et Konrad étaient des vampires. Camus semblait être humain.
Du moins je l'espérais.
Encore plus étonnant, les archers si ils étaient humains, pourquoi obéissaient- ils à une vampire?
Pour moi c'était incompréhensible.
Bref, je devais me sortir de là.
Mais le fouet d'Abygaïl qui était pointé sur moi me fit réfléchir à deux fois.
Les archers approchaient doucement pour me prendre mon précieux batôn.

Donc j'hésita tellement qu'un archer me frappa dans le dos, ce qui me fit eprdre mo néquilibre et mon batôn. Mon seul réconfort fut quand l'homme croyant m'avoir vaincu prit le batôn entre ses mains.
Il se mit alors à hurler, puis il tomba raide mort.
Ce batôn, je l'avais enchanté conre les voleurs.
Seul moi pouvais le toucher.
Les squelettes continuaient à progresser, et les archers tombaient par dixaines car non habitués au corps à corps.
Moi je resta au sol quelques secondes avant de commencer à me redresser péniblement.

LA seule chose qui m'avait permis de survivre durant plusieurs années.

Cette armée de squelettes était vraiment impressionnante, le sol tremblait sous nos pieds à chacun de leurs pas. Aussi, ressentais-je les impressionnantes auras de Louis et d'Abygail. J'aurais pu fuir mais ayant promis de soigner les archers blessés, j'y avait renoncé.

De toute évidence, les squelettes ne feraient pas de distinction entre moi Abygail ou Louis, il était donc improbable qu'ils évitent de m'affronter moi aussi. Il fallait me rendre à l'évidence: je n'avais d'autre choix que de me battre. M'adressant à Abygail:

Je vais me battre à vos côtés en guise de dette envers vous. Je pense que si nous voulons avoir une chance de remporter la victoire, nous allons devoir unir nos forces...

Soudain, une lueur brilla intensément durant quelques secondes et mon armure, l'armure du Verseau, apparu, plus resplendissante que jamais et se sépara en plusieurs parties afin de revêtir mon corps. Mes armes apparurent à leur tour et vinrent se placer sur mon armure, excepté mon épée qui se logea dans ma main. Paré de cette armure, j'étais fin près pour me battre.

Quelques secondes après, nous entîmes une sorte de râle, comme si une créature respirait fortement et grognait à la fois. Louis et Abygail se mettèrent en garde, les sourcils froncés et murmurèrent en choeur:

Je sens la présence d'êtres hostiles dont je ne connais la nature...

N'ayez crainte, leur dis-je. Ce sont mes Atronachs de givre, ils se battrons à nos côtés. Il est normal aussi que vous ne puissiez les voir...

Je me mefiais de tout le monde mais j'etais pret dans un premier temps a combattre cette armée de squellettes , c'etait la premiere fois qu'autant d'etre au même endroit pouvait resister a mes investigations mentales.

Mes dons , mes pouvoirs et mes talents ne m'etaient d'aucune utilté contre des êtres dont l'esprit etait mort et dont le sang ne coulait plus en haut depuis des lustres.

Seul mes talents de guerriers allait pouvoir m'aider. Je terrassé les premiers squelettes avec aisance et majectueusité .
Cependant leur surnombre et leur regenaration allait bien vite entamer mon endurance.
Seul les squellettes prisonniers dans les blocs de glace etait inoffensifs.

De la ou j'etais je ne pouvais distinguer comment s'en sortait Abygail. Ma chair était déchirée par les épées des mes ennemis , mon pouvoir de regeneration naturelle etait tres lent .

J'usai alors de mes capacités a me confondre avec mon environnement ainsi que ma célerité pour placer des frappes chirurgicales evitant de me faire toucher à nouveau.

Je savais que je ne ferais pas la difference mais au moins je recupperais.

Les Monstres de givres de Camus faisaient des ravages , les squelettes explosaient comme du verre. Plus le temps passait , plus notre victoire se dessinait.

La guerre commençait à tourner court.
Une seule chose était sûre, Konrad était maintennat détesté parmis ce village.
Comme je ne désirais pas m'attarder pour voir les vampires et le mage de guerre gagner, je m'enfuis dans la forêt à la recherche de Konrad épuisé.
A 2 nous aurions une large chance de vaincre Louis, Abygaïl et Camus.
Car je n'avais pas aimé l'accueil des soldats et le fait qu'o nveuille me prendre mon batôn d'archimage durement gagné.
Je n'eu pas à chercher trop longtemps pour tomber sur le vampire à moitié épuisé par son terrible effort.
D'un sourire en coin je me mis devant lui et lui dis simplement:"alliés?"

La battaile faisait rage. Je tranchais des squelettes avec mon épée et congelais d'autres en même temps tout en essayant d'accroître ma vitesse. Mes Atronachs en détruisaient un grand nombre à chacun de leur coups. Les coups d'épée que je recevais étaient pour l'instant sans conséquence grâce à mon armure. Soudain, un squelette se jeta sur moi les 2 bras en l'air en brandissant une grosse masse. Pour l'esquiver, je dûs sauter au-dessus de lui en lui tranchant la tête. Lors de mon saut, je vis Baltor s'enfuir dans la forêt...

Le vampire n'avait pas vraiment le choix sur son alliance avec moi.
Car j'étais en forme, j'avais préparé des sorts et surtout j'étais debout et lui assit.
Donc refuser était de la pure follie dans son cas.
De plus, i létait très fatigué.
Je le voyais.
Son effort l'avais presque tué.
Donc d'un signe résigné il me fit "oui" de la tête.
La priorité était de nous reposer tous deux.
Donc, je créais un champ de force autour de notre campement improvisé, et j'étais partie en chasse de nourriture pour Konrad.
Car i létait trop faible pour chasser seul.
Si je faisais tout ça, ce n'était pas par amitié, mais pour espérer soutirer un ou deux sorts de nécromancie à la fin de la bataille.
Car i lsavait que je lui avais laissé al vie sauve, donc la moindre des choses était de me remercier.
De plus j'avais besoin d'un apprenti ou d'un collègue comme lui pour m'aider à devenir plus fort.
Un vampire mage était assez rare.

Docn en marchant quelque peu, je tomba sur une patrouille qui nous cherchait.
Elle était composée de 5 soldats. A l'aide d'un sort d'effet de zone puis de téléportation, le groupe de soldat se retrouvé immobilisé devant Konrad.
Les humains étaient encore conscients mais ne pouvaient plus bouger. Konrad n'avait plus qu'à se servir pour se régénérer.

Je pris un soldat, je mis mes lèvres sur sa jugulaire. Au dernier moment, au moment de planter mes crocs, je me retins.

"Jamais, je n'accepterais quelques chose, d'une raclure telle que toi petit archimage ! Ce que tu cherches ? Simplement à vous extirper, des sorts et à faire le mal autour de toi, dans le but, de tes propres desseins. Alors ton repas, tu te le gardes, je ne reste pas içi, une seconde de plus, l'air devient nauséabond avec ta pourriture qui vous caractérisent tous autant que vous êtes. En passant, les autres vont arriver, ce que tu as vu n'était pas la destruction de la ville ni mes squelettes, juste une illusion créé par mes soins, dans le but que tu ne fasses pas de dégats dans la ville, et puis j'avais besoin de te mettre à découvert..." Dis-je sur un ton narquois.