partie 2: et la magie disparue

j'etais parvenus jusqu'a une maison de villageois qu'Abygail avait choisit pour m'attendre.
Je déposé le livre en lieu sur et le corps de mon ami.
Je l'emballai dans une bache et le laissai a la cave.

Aby me regardait sans rien dire. La haine me guidait et elle savait qu'aucun mot ne pouvait me reconforter. J'etais mon propre ennemi mais elle me prit la main.

elle me fit un signe de tete et sans plus attendre ouvrit le livre que Paul avait rapporté au peril de sa vie.

Il nous fallait Baltor egalement , j'avais perdu un ami et je ne compatais par en perdre un deuxieme.
J'utilisais la tecnique des anciens et en une epaisse brume je me faufilai jusqu'a la demeure ou Baltor était caché.

Quelqu'un d'autre l'avait trouvé avant nous , cpincé derriere une epaisse prison de glace je reconnu la puissance de Camus.
Que pouvions nous faire s'il était de leur coté ?

je tapai de toute mes forces dans le bloce de glace mais je ne lui fis meme pas une eraflure.
Ma magie était inerte quelque chose m'empechait de la deployer.

A travers la proi je voyais Baltor blotti contre le mur du fond grelottant de tout son etre.
Puis je levai les yeuxet je vis le trou beant que Camus avait fait au plafond....

J'empruntai alors le meme chemin que lui d'un bond de vampire pour me retrouver sur la piece du dessus. j'avancai de quelques pas et reunissai tous mes pouvoirs de la nuit , je les accumulais.

Puis je frappai du talon avec une telle puissance que le sol se brisa puis la charpente ceda une nouvelles fois deja affaiblis par le premier passage de Camus
je me laissai tomber alors dans la piece du bas ou se trouvait Balto mais cette fois avec lui de l'autre coté du mur.

Je le pris sur mon epaule , bondit a nouveau a l'etage superieur.
Lorsque j'ouvris la porte de la maison ou Abygail etudiait , je lui dit

J'ai ramené Baltor va fallor qu'il reccupere.
Elle me retorqua : Louis j'ai peut etre trouvé la faille !

J'étais à moitié mort de froid, sans bâton mais vivant.

Je n'osais même plus bouger tellement j'étais pétrifié par ce froid mordant.

De plus le contant de Louis ne me réchauffa pas c'était un mort-vivant.

Il allait me falloir un bon feu où sinon j'y passait.

Et si je mourrais ma bague nécromantique fixée à ma main droite allait devoir faire son oeuvre.

Chose que je ne désirais pas tellement.

...Je me réveillais lentement et avec difficulté dans une pièce assez sombre. J'avais un mal de crâne incroyable et ne me souvenais étrangement plus de rien. J'étais enchaîné et attaché à un mur au niveau des poignets et des chevilles. Soudain quelqu'un arriva, habillé totalement de noir avec une capuche qui m'empêchait de voir son visage, un être très vaguement famillier...

Alors Chevalier, on se remêt tout doucement de ses émotions? Cette déferlante de nouveaux pouvoirs t'est apparemment très difficile à encaisser. Il n'empêche que tu nous as été fort utile...

Des tas de questions me passaient à l'esprit mais je n'arrivai pas à trouver la concentration nécessaire à en garder une et à la poser, je n'avais de plus pas la force d'articuler quoi que ce soit. Après m'avoir salué, l'être en noir me tourna le dos et sortit par une porte d'un métal apparemment fort épais, puis je tombai dans un profond sommeil qui ne pouvait que me faire du bien...

Une fois que je fus réanimé par mes compagnons, je leur dit: " L'heure est grave, la liche Xavarthas a enrôlé Camus dans ses rangs de traqueurs. On est perdu je pense."

Malgré ma déprime restait l'espoir que le livre d'Abygaïl nous renseigne sur les créatures capables de combattre ces traqueurs.