Inquiétudes...2, la suite!

Nous pouvions tous lire les pensées de Baltor et nous savions que notre role face à cette liche était de tenir coute que coute en espérant qu'olfar parvienne à contacter l'ancien maître de Baltor.

Blade , Formatc , Abygail , Kevin , Nooj , Baltor , Kaite , Layla , Severus , Konrad , Alucard , Fratrius et moi-même faisions face.
Nous espacions nos lignes en nous déplaçant lentement de coté jusqu'à ce que les annerciens encerclent notre ennemi.
Puis il y eut un temps de silence , immobile.

Nous nous observions.

Tout à coup Camus qui était étendu sur le sol brisa la trève silencieuse en tentant de se redresser car il etait hors de question pour lui de ne pas prendre part au combat.

C'est le moment que choisit la Liche pour me lancer un sort d'enchevetrement. Tout à coup des racines noires se nouèrent autour de mes chevilles.
Je tentais de me libérer en roulant sur le coté.

Je pus arracher quelques uns des ces immondes bras noirs simplement en utilisant la force , d'autres ont été tranchés net par Ivaceman mais il en repoussait toujours plus et bientot j'étais maintenu au sol incapable de me libérer.

Tandis que j'essayait de me relever tant bien que mal, je m'écriai:

Les Paladin sont de mèche avec la liche! C'est une ambuscade, ils ne vont pas tarder à arriver !

On voyait l'armée de la liche qui arrivait. Des squelettes avec leurs ricanements sadiques. Il fallait se replier. Sinon, on allait tous mourir. Je voyais au loin, une voiture. Si Baltor peut nous la faire exploser devant nous. On serait tranquille pour un moment.

"Les morts-vivants ont peur du feu."

Baltor réussit à faire exploser la voiture, ce qui nous donna une avance pour nous replier. Alors qu'on était en chemin, on entendit des cliquetis de fer qui frottaient entre eux, des ombres avec des hallebardes préçédés d'un homme avec une épée lumineuse. Les paladins qui avaient vendus leur âme au diable étaient là devant nous. Le sourire en coin du paladin en disait long sur les plans qu'il avait en tête.

Le chef des paladins et la liche étaient tous les deux en train de se rejeter la faute sur l'autre. Celà nous permettait ainsi de reprendre nos esprits et de permettre à Aby de nous mettre en lieu sur et de panser nos blessures.

Nous repassions tous par le cercle dans le monde des mortels.
Mais avant de revenir, une ombre noire nous dépassa tous.
On aurait dit une grande cape noire flottante. En guise de visage, il n'y avait rien à part deux yeux noirs comme la mort.
Mais nous n'avions pas le choix, donc malgré l'ombre nous rebroussions chemin vers le portail.
L'ombre ne cherchait pas à nous barrer la route au contraire, elle lança un sort de lancé d'âmes vers le chef des paladins. C'était en fait un puissant sort de pure énergie, qui transperça le chef des paladins, pour le laisser retomber innerte sur le sol.
Après cette course poursuite, l'ombre apparut près de moi.
Elle enleva sa capuche, et je reconnu mon ancien maître.
Il nous regardait et secouait la tête. Si l'envie lui en prenait à lui aussi, il pouvait tous nous détruire, ou nous contrôler avec un simple sort de lien des morts. Car après tout, c'était un nécromancien, et nous des morts-vivants.
La liche arriva peu après, avec 2 paladins, et une armée de squelettes à ses ordres. Elle ne nous regardait pas, elle n'avait d'yeux que pour le nécromancien dont elle connaissait la puissance. D'ailleurs, on voyait qu'elle hésitait à faire demi-tour face à lui.
Camus étant hors combat, le nécromancien incanta très vite, et soudain, Camus se releva pour obéir totalement au mage. Car, le nécromancien utilisait le corps et la magie de Camus, pour combattre. En celà c'était un maître. Car il pouvait contrôler le corps de Camus qui n'avait plus de force, et il pouvait se défendre lui même en invoquant des morts-vivants.

Le maître de Baltor arrivait à point nommé , nous sentions tous l'étonnante énergie qui se dégageait de cet être.

La balance s'était largement équilibré et il était à présent temps de faire payer à ces damnées leurs agissements envers les annericiens.

Fratrius prit impulsion sur la paroie rocheuse pour s'élancer dans les airs par dessus la mélée et s'aggrippa derrière le premier des paladins.
Il commençait à ingurgiter son énergie.

J'imitais mon compagnon pour retomber non loin de leurs duels.
Le Paladin avait subit une énorme perte d'énergie mais Fratrius ne tiendrait pas la prise encore longtemps.
Je fis tournoyer Ivaceman dans les airs afin de donner le maximum de vitesse à la partie contandante de mon arme.
J'enchainais les mouvements techniques en m'approchant du paladin , je finis sur un grand écart qui projeta Ivaceman sur le genou du paladin qui éclata littéralement.

Fratrius saisit alors sa gorge de sa main puissante et lui arracha la carotide.

Le paladin était sur un seul genou , un trou béant dans sa gorge , ses yeux étaient noirs mais toute trace de vie commencait à s'effacer.

Layla était en pleine course , elle fit un tour sur elle meme avant d'exploser son talon gauche dans la tempe de notre victime.

Je détournais le regard du corps du paladin afin de voir le champ de bataille et d'analyser ce qu'y s'était passé pendant ces 6 secondes.

Quand à moi, je décidais de vaincre le dernier paladin à moi seul.
Je m'approchais de lui, et quand il me vit, je lui envoyais ma maîtrise la plus puissante de la télékinésie.
Je lui broyais les os à distance, et après quelques secondes passées à hurler et à se débattre, il retomba inerte et déformé sur le sol.
Quand à la liche, elle avait beau bombarder de salves de feu mon maître, elle n'arrivait pas à le toucher. Car à chaque fois qu'un sort s'approchait de lui, un mur de squellettes le protégeait.
Mais lui ripostait immédiatement avec un grand nombre de sorts variés et mortels. Telle la lance des âmes, le souffle du dragon mort-vivant, et l'inégalable sort vol de magie des morts. Grâce à ce dernier sort, il volait petit à petit les sorts de la liche. Il s'amusait avec elle pour l'instant.
Mais quand il vit qu'au bout de trois minutes de nouveaux paladins arrivaient et que les squellettes menaçaient de nous déborder, il utilisa son sort le plus puissant face à la liche. Le sort destruction du mort.
Il agita sa main nonchalament, et la liche explosa.
Depuis le début il aurait pu le faire, mais il voulait s'amuser un peu avant.

La liche titubait, elle dit:

"Ma mort ne changera rien. C'était même nécessaire"

Et son corps s'écroula laissant son sang impur et noir couler.

Tout à coup, un vent se leva des bourrasques énormes s'étaient levés. Les éclairs tonnaient, ils déchiraient le ciel. Un portail dimenssionnel se forma laissant s'ouvrir une porte vers le monde des enfers. Des troupes sortaient de ce portail. Des chiens de l'enfer si énormes qu'ils faisaient passer les lycans pour des caniches. Des golems de pierre aussi haut que les maisons.

Kaite dit:

"Il faut se replier ! Sinon, on est fichus."

C'est alors qu'à contre coeur, on s'enfuit. Mais celà était nécessaire pour reprendre nos forces et échapper à nos tortionnaires.

Mon maître prit le contrôle du corps de Camus, et des blessés parmis nous, pour les faire fuir plus vite.
Il restait en arrière pour sortir une grande épée noire.
C'était une lame de mort et nous le savions.
Cette épée avait le pouvoir de détruire n'importe quoi.
Il n'y en avait que trois dans le monde.
Le nécromancien invoqua un général squellette à qui il confia son épée.
Le squellette faisait des ravages.
Quand mon maître sentit qu'on était assez éloignés, il reprit son épée et laissa le général squellette le temps de nous rejoindre.
Mais il flottait dans les airs, donc il allait plus vite que nous et nous rejoignit rapidement.

Les créatures des enfers hésitaient à nous suivre. Trop des leurs étaient tombés sous les coups du nécromancien.
Une fois en lieu sûr, mon ancien maître avait besoin de se régénérer.
Car même si il ne le montrait pas, il avait utilisé la moitié de son énergie au moins.
De plus, il avait soigné toute notre équipe et rendu la forme à tout le monde au détriment de son énergie.
Dans le fond, il avait beau être maléfique, il était un précieux allié avec un grand coeur.
Il partit à la chasse d'un mortel à tuer. Car en tuant une personne, il pouvait lui voler son âme et se régénérer.
Après 5 minutes passées à tuer au moins une quinzaine d'innocents, il était en meilleur état.
Quand soudain, un golem de pierre immense écrasa notre refuge.
Nous eumes à peine le temps de fuir.
La créature était immense et très puissante.

Le golem nous toisait comme de vulgaires moustiques.
Le nécromancien incantait déjà, et la créature mourrut d'un rayon transparent.
Après cette attaque, mon maître eut un regard vide.
Il me dit:

"Baltor, j'ai une affaire urgente à régler. Donc, je vais devoir m'en aller." puis, il disparut.

Nous étions seuls avec ces abominations de l'enfer.
Nous avions décidés de sortir combattre sûrement pour la dernière fois, car les démons sentaient que le nécromancien ne nous protégeait plus.
Mais, à ce moment là une chose incroyable se produisit.
Les vampires et lycans du Romanesque arrivaient en renfort.
Et quelques soldats humains aussi venaient nous aider.
Nous étions enfin à égalité.
Les deux armées se regardaient.

Quelle exaltation cette bataille.
Au bout d'un moment je compris que projeter des démons par télékinésie ne servait à rien.
Donc, je décidais de contrôler une dixaine d'armes tombées par terre, et je les faisaient voler auour de moi, créant ainsi un bouclier volant.
Puis quand je vis qu'aucun démon ne m'attaquait, je projetais les armes par ci par là.
Détruisant ansi les démons par 2 ou 3.
Mais mes compagnons n'avaient pas besoin de magie pour tuer aussi efficacement que moi.
Je remarquais une citerne d'eau, et je la brisais pour Formatc.
Tout le monde devait s'amuser après tout.

Quand ce carnage fut finit, tout le monde était éssouflé, le sang noir des démons était tel un ruisseau nauséabond. Il fallait nettoyer tout ça pour éviter qu'une personne mal intentionné l'utilise.

Après le nettoyage, on se regroupait pour aller finir la nuit au Romanesque. On l'avait bien mérité après tout. En se regroupant, il manquait quelqu'un: Kate. Louis demanda:

"Quelqu'un a vu Kaite ?"

On se sépara, et on se mit à la chercher. Elle restait introuvable. On se regroupa à nouveau, c'est alors qu'on reçu un message télépathique d'une personne dont on se serait bien passé :

"Vous pensiez m'avoir tué, bande de vampires si puérils quand même, on se débarasse pas de moi comme ça. Ramenez-moi l'objet que je cherche et je rendrais votre amie. Si je n'ai pas ça dans 48 heures, elle prendra un fabuleux bain de soleil. Je vous dirais où déposer l'objet."

La communication cessa. Un de nos membres était en danger. Rome avait été sauvée. Mais maintenant, un des notres était en danger. Celà était un nouveau chapitre.